|
| Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? | |
| | Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Lun 28 Juil - 23:23 | |
| (c)Icons by ch_photoshopped. Il ne cessera d'être tourmenté par ses démons intérieurs. Et quand le temps sera venu pour lui des les affronter, sa vengeance excédera tout ce que l'on peut imaginer. - Thomas Harris { Prelude
Nom & Prénom: Harrington. Avouez que ce nom, doté d'une si belle prononciation à consonance Anglaise, ne vous est pas inconnu. C'est normal ne vous inquiétez pas. Il appartient à une famille à l'image mystérieuse pour tous, une famille qui intrigue un bon nombre de personnes et qui est l'objet de rumeurs pouvant dépasser la réalité. Nathanael. L'origine de ce prénom est hébraïque. Historiquement, il fut donné au cinquième apôtre appelé par Jésus. Historiquement. Ce qui n'affirme pas que cela était vrai ou non. Quoi qu'il en soit, Nathanael n'est pas croyant et ne l'a jamais été. Il lui a été donné car sa mère appréciait certainement la douceur qu'il y a dans la prononciation de ce prénom, cette petite façon de devoir "pousser" le dernier "a" pour pouvoir prononcer correctement les deux dernières lettres. Nathanael Harrington, les deux noms propres sont en parfaite harmonie, vous ne trouvez pas? Surnom : Le jeune -ou vieux, à vous de l'interpréter selon la réalité ou l'imaginaire- homme n'est pas un adepte des surnoms. Voir tout ces jeunes s'échanger des petits noms aussi pathétiques que leur degré de maturité lui donne une fort envie de... vomir! Et encore, je suis poli. En même temps, il n'a pas exactement le même âge qu'eux et nous pouvons donc affirmer qu'il "a passé l'âge d'avoir un surnom cucul". Donc, pour tout résumer, on n'utilise que le diminutif le plus courant de son prénom, à savoir: Nate. Ne prenez pas cette mauvaise volonté à le prononcer vulgairement à la française, puisqu'il est anglophone, cela provoquerait une colère de Nathanael. "Naïte" fera l'affaire. Âge: Normalement âgé de quatre cent cinquante-deux ans, il ne serait pas raisonnable de le révéler aux autres personnes ne faisant pas partie de sa famille. Et ce serait surtout une trahison envers ses proches, ce qu'il ne tient pas à faire. Heureusement qu'il est âgé de dix sept ans en apparence, ça c'est largement plus raisonnable. Lieu et Date de Naissance: Après une transformation humaine à vampire, il arrive que l'on ne se souvienne pas de la personne que l'on était auparavant. Par chance, Nate a pu se rappeler de nombreux détails, certains importants -comme son prénom-, mais d'autres beaucoup moins. Et malheureusement, il ne se souvient pas du lieu exacte de sa naissance, ni de la date ou de l'heure, juste qu'il naquit sur la terre Anglaise, en l'an mille cinq cent quatre-vingt seize. Je l'admets, ça ne le rajeunit pas du tout.
{Vampires, what else?
Caractère:
"Certains disent que je suis un fou, d'autres n'ont pas le courage de me juger tellement ma personne peut susciter de l'intrige. Mais qui suis-je en réalité? Moi même je me le demande. En fait, je crois que cette question fais partie des existentielles. Vous savez, celles que l'on se pose au moins une fois pas jour et dont on ne connaît pas réellement la réponse, car toutes les réponses sont bonnes comme mauvaises. Si l'on se fie à mon apparence, alors je suis un ange qui rejette autant de pureté que la bible ne peut contenir de mots. Je possède l'image d'un homme mystérieux, qui s'exprime intelligemment avec des phrases qui peuvent sortir du sujet et pourtant s'en rapprocher, ou bien un homme qui répond à des questions par d'autres questions. C'est à peu près vrai. Si vous ôter le mot "ange" pour le remplacer par "démon" et le mot "pureté" par le mot "puissance", alors le début de ce texte tient parfaitement bien la route. Je sais ce que vous pensez. Qu'est-ce que je veux dire par rejeter de la puissance? Étant vampire, je suis doté d'une force suprême et dans tous les sens. Que ce soit dans la force physique, dans le pouvoir de séduction -le charisme-, dans la force de persuasion ou bien dans les paroles et les actions. Parce que c'est ainsi pour tout les vampires, nous sommes en possessions d'atouts que les humains ne sont même pas capables d'exploiter dans une même vie. J'ai aussi cette pointe de malice dans le regard, qui trahi mon côté rusé. C'est peut-être pour cela que l'on ne m'affronte pas, je suis agile mais je préfère largement utiliser ma cervelle pour me sortir de n'importe quelle situation délicate. Vous disiez? Vous êtes impressionnés par ma personne? Attendez, vous ne connaissez pas le meilleur. Vous ai-je parlé de mon côté, ô combien sadique et violent? Oui bon, ça en fait deux. Mais chez moi, ils se fusionnent. Ce que j'apprécie vraiment, c'est les cous des jeunes demoiselles à la peau fraîche, blanche et veloutée, le genre de peau qui vous donne un grand appétit, une peau tendre de fillette apeurée, la peau que l'on caresse du bout des doigts histoire de se faire plaisir avant d'atteindre l'orgasme en la mordant d'une violence indéfinissable. Entendre hurler sa proie est encore plus succulent que le goût du sang, l'entendre me dire de stopper me ferait presque rougir. Suis-je un monstre? Alors j'en suis désolé mais j'ai cette bonne -pour moi, mauvaise pour vous- manie de prendre un certain plaisir à faire souffrir les gens, à les détruire moralement jusqu'à ce qu'ils aient qu'une envie: Donner fin à leur misérable existence, pour ensuite leur dévoiler mes jolis crocs pointus, parfaitement aiguisés, les laisser prendre peur et courir -en leur laissant quelques secondes d'avance pour rendre le jeu plus intéressant- et les attraper -car il est bien connu qu'un vampire court plus vite qu'un humain. Et voilà, je me déguste un savoureux repas en rendant service au monde entier d'avoir rayé quelqu'un d'inutile. Voyez-vous, je suis joueur. En plus je suis généreux -ironie quand tu nous tiens-. Vous voyez qu'il y a du bon en moi! On pourrait dire que je suis un... donneur de mort bénévole! Oui, vous pouvez l'interpréter comme cela, ou bien comme vous le voulez. Je n'accorde pas trop d'importance à tout ce qui peut être dit sur ma personne, à tout ce que l'on peut penser de moi, en quatre cent cinquante-deux ans j'ai appris à ne pas faire attention aux jugements et aux regards. Les humains ne m'atteignent pas, je ne sais même pas s'ils arrivent à me monter à la cheville car j'ai beaucoup plus d'expérience qu'eux et mon QI fait certainement le double de le leur. Incontrôlable, j'ai beaucoup de mal à pouvoir contrôler toutes mes poussées de violence, surtout quand j'ai faim et que mon regard commence à foncer, puis à virer à un noir intense, un noir signifiant tout le mal que je peux dégager. Alors là il faut vite que je trouve de quoi me rassasier où je n'ai plus le contrôle de ma propre personne, la bête vorace qui se trouve en moi ressort et est capable du pire. C'est bien mon défaut, j'aimerais pouvoir calmer un peu tous les excès de violence que je peux créer. Il parait que nous sommes seul maître de nos personnes et de nos gestes, alors pourquoi pas moi? Bref, ce n'est pas le moment que les émotions interviennent, j'ai horreur de ça. Les sentiments sont une faiblesse, plutôt redevenir humain que les dévoiler. Ce n'est pas mon genre de me montrer faible, je préfère me montrer grand, sa effraie. Vous voulez un autre défauts de moi? J'en ai si peu. Il parait que je suis trop parfait et qu'apparemment cela agace de nombreuses personnes. C'est pas ma faute, c'est la faute à mon naturel. Oh, un autre défaut? La sériosité. Il m'arrive d'être beaucoup trop sérieux et même rabat-joie, je sais m'amuser mais à ma façon, qui ne plaît pas forcément à tout le monde mais comme je vous l'ai dit plus haut, je me fiche de ce que peuvent penser les autres. Je suis égoïste et ce n'est pas demain que ça changera. Je déteste de devoir partager avec un autre -sauf si c'est un proche-, je déteste devoir penser aux autres, je préfère nettement mon intérêt. C'est le plus intéressant. Prétentieux? Juste un petit peu. Disons juste que je connais mes valeurs, que je connais ma beauté et mon sens de séduction. Mais je ne suis pas que ça, je suis plus grand. Rancunier, je me venge toujours de ce que l'on peut me faire, et bien sûr, qui dit vengeance, dit, le sang qui coule. J'adore la vengeance, ne vous demandez pas pourquoi, je crois que c'est clair. Irrespectueux et froid, je ne cherche pas à sympathiser avec tout le monde, je n'aime pas m'excuser et je n'éprouve aucune pitié ou aucune compassion envers quiconque, à quoi sa sert? Si quelqu'un ressent du mal, alors qu'il reste dans son mal et qu'il ne gène pas la Terre entière avec ces soucis de dégénéré. Je sais même rester froid face aux larmes qui coulent. En quatre cent cinquante-deux ans, j'en ai vu des milliers de larmes, je n'y fais même plus attention, c'est du quotidien pour moi. Toute petite dose de bonté en moi est morte en même temps que ma transformation. Hypocrite, c'est ce que je suis devenu. Je n'ai même plus la foi en quelque chose, j'ai perdu le bon sens le jour de ma transformation. Je n'espère plus rien, je n'attends rien de personne. Et c'est stupide, je ne saurais même pas quoi attendre. Je n'ai jamais besoin de demander de l'aide ou un service, je sais parfaitement me débrouiller seul, je suis un grand garçon, non? Je n'en fais qu'à ma tête sans avoir peur de quoi que se soit, après tout, je suis éternel, alors de quoi aurais-je donc peur? Ha je crois peut-être avoir trouvé quelque chose. L'amour. L'amour c'est tordu, c'est con, ça vous rend complètement niais et captivé, ça vous bousille à petit feu, mais c'est pourtant le plus beau des sentiments. Peur de tomber amoureux. Cette grande peur de devoir se donner à une autre personne, de vivre en quelqu'un d'autre, de donner tout ce que l'on a pour une personne, d'être à genoux face à elle, lui vouer une grande admiration, d'en être dépendant, de devoir lui répéter chaque jour qu'on l'aime. Car je me vois mal de devenir incapable de maîtriser mes sentiments -déjà que j'ai du mal avec ma colère-. L'amour est la plus grande des tortures, même pour un vampire de mon grade. Il n'y a que l'amour pour m'affaiblir. Moi qui me croyait si fort, si grand. Au fond je ne le suis pas tant que cela. Devoir croire en quelqu'un me serait trop insupportable, car je ne crois en rien moi, je suis comme ça. Je crois juste en moi et en ma liberté. Ce bien être qui me dit de ne faire que ce que je veux, d'aller plus loin que le possible, il ne peut rien m'arriver, je suis certain d'être invincible, je suis personne et je suis aussi quelqu'un. Je vis à cent à l'heure, comme si j'étais pressé, comme si ma vie allait se terminer dans quelques années, je profite de chaque seconde, j'observe, j'explore. Je suis capable de regarder durant un temps une fleur, une fleur très banale mais à laquelle je trouverais quelque chose de particulier, car chaque chose est unique et spécial en son genre, il suffit d'observer. J'ai eus le temps en quatre cent cinquante-deux ans. Beaucoup de temps. Faut dire que je suis patient, c'est une belle qualité. Mais je n'aime pas beaucoup parler de qualité, je préfère nettement mes défauts. Dont celui de mes tendances meurtrières. Sans que l'on en prenne vraiment conscience, le combat commence, la race humaine contre la race vampire, ils ont peut-être la magie mais nous avons la puissance, nous gagnerons et je serais un parfait petit soldat tout au long de cette épopée. << Que reste-t-il à aimer en moi? >>."
{ Who are You, My Sweety Dear? Surnom: Carrie Boy or Girl?: But i'm a supergirl... Où avez vous connu le forum? Pub sur Bazzart =) Niveau de rp: Je n'arrive pas tellement à m'évaluer, vous verrez bien pas rapport à ma fiche! Qualité du design: Magnifique Qualité du Contexte: A votre avis, pourquoi je me suis inscrite? =p Parfaitement bien écrit! Avatar: Gaspard Ulliel, le plus beau <3 Autres: J'aime tout le monde Code: I'm not afraid of you.
Dernière édition par Nathanael Harrington le Mer 30 Juil - 23:52, édité 13 fois |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
Nombre de messages : 1560 Age : 32 Mood : Sadistic AD Song. : WT. Angel Date d'inscription : 03/05/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 1005 years RelationShips: Puissance.: (99/100)
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Lun 28 Juil - 23:27 | |
| Bienvenue Premier Nath' de Mon Coeur...J'te souhaite Bonne chance pour ce Test de Rp! xD | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Lun 28 Juil - 23:49 | |
| Merciii Noah de mon coeur Je compte bien me défoncer les neurones à faire cette fiche (a) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mar 29 Juil - 12:07 | |
| (re) Bienvenue et merci de ton inscription ;] Le code est bon. Bonne chance pour la suite ( Quand vous aurez finis vos fiche, les deux Nat', vous aurez un test rep pour savoir qui aura le rôle ) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mer 30 Juil - 23:52 | |
| Physique Journal intime d'une victime de Nathanael Harrington, le dix-huit octobre mille neuf cent trente-deux. "Son allure était brave, une contenance comme je n'en avais jamais vu auparavant. Je me rappelle qu'elle m'a beaucoup marquée, lorsque je me tenais là, dans un coin sombre d'une ruelle, complètement apeurée. Alors que je tremblais de tout mes membres, me demandant que faire, où aller, un homme apparu dans la petite rue, je l'observais, en silence. Son degré de classe était indéterminable ce soir là. Un pantalon noir de costard par dessus une chemise blanche entrouverte au col, on pouvait discerner une grande partie de son buste viril. Des chaussures en cuire, pointues, s'accordaient parfaitement bien avec sa tenue. Un long cuire noir agrémentait le tout, lui offrant une physionomie rebelle. Sa démarche trahissait sa force et sa bravoure, cette façon de mettre un pied avant l'autre, de laisser ses bras pendre le long de son corps masculin et de rester la tête haute, par fierté. Ses gestes étaient tellement pleins de grâce pour un homme de cette sorte, cette sublime façon dont il ouvrait son paquet de cigarette pour pincer l'une d'elles entre ses lèvres me sidéra. Après avoir glissé le paquet dans l'une de ses poches, c'est une petite boîte d'allumettes qu'il sortit. Lentement, il en craqua une à la hauteur de son visage, que je pus percevoir grâce à la lueur. Un visage angélique, un visage tellement exquis, un visage placide qui ne nous laissait pas de marbre face à sa personne. Je n'avais jamais vu un homme d'une telle beauté de toute ma vie. D'une magnificence si sage et innocente, et je ne savais pas ce qu'elle pouvait masquer, le secret. Sa carnation était d'une clarté absolument idyllique, comme si elle n'avait jamais grandit, comme si elle était restée en enfance et pas lui. La seule imperfection était la cicatrice, je n'en avais jamais vu de telle avant. Une "trace", semblable à une fossette embellissait sa joue droite. Embellissait car c'était sa particularité à lui, étrangement, elle le rendait encore plus beau et plus dangereux qu'il pouvait laisser paraître. De nombreux frissons me parcouraient le corps, elle m'intimidait cette balafre. Que lui était-il arrivé? Je ne pourrais le savoir et pourtant j'aurais aimé. Peut-être à cause d'un accident, ou bien d'une bagarre. Je ne le saurais pas. Son regard se révélait être plus qu'attrayant, il dégageait beaucoup plus que de la sincérité, il répendait une grande énergie tout autour de lui et du potentiel. C'est en continuant d'observer le bleu océan de son regard perçant que je sus qu'il était un être sensé et capable d'accomplir de grandes choses. Un individu pas comme les autres, une personne à part, qui réussira. Son regard en disait encore long mais il est difficile de trouver les mots face à une prestance pareille. A le contempler de cette manière, je donnais l'impression de l'admirer, d'être face à un Dieu, face à un homme plein de prestige, que je choisirais pour le restant de mes jours, j'avais cette folle envie de me mettre à genoux devant lui tant il était divin, tant son attraction était envoûtante, et je me demandais ce qu'il m'arrivait, pourquoi mon coeur battait aussi rapidement à la présence d'un inconnu. Ses cheveux d'un brun obscur étaient ébouriffés et donnaient l'impression de ne pas être peignés, ce qui aurait donné un effet vraiment pas esthétique sur quiconque mais sur lui, c'était beaucoup plus, c'était adorable, tout simplement. Mais autre chose attirait mon attention, d'inhabituel. Il y a tout d'abord la forme de ses lèvres, je ne saurais la décrire, elle est bien trop saisissante. Mais ce qui m'absorbait était en dessous, ses dents. Un sourire cruel, inhumain, qui contient aussi deux crocs. Des canines parfaitement acérées, d'une taille bestiale. Encore quelque chose que je n'avais jamais vu avant. Comment se fait-il, qu'il avait des dents aussi pointues? Était-il vraiment un mortel? Ou bien l'une de ces créatures de la nuit? Non cela m'étonnerait, son apparence était bien trop céleste pour qu'il soit sanguinaire. Et de toute façon, je ne croyais pas aux monstres qui peuvent peupler les ténèbres. Toujours dans mon coin, c'est après cette longue observation que je me rendais compte que j'avais l'être le plus fascinant non loin de moi. J'étais aussi surprise par sa grande taille à la fois élancée et baraquée. Le plus beau." C'est dans la profondeur de son coin, que la victime avait installé une petite lampe afin d'écrire dans son journal intime, sans savoir que cela serait pour la dernière fois de sa vie. "Le plus beau." furent les trois derniers mots de son existence et le point final. Courageuse, elle s'est ensuite aventurée à la rencontre du subjuguant Harrington qui ne lui laissa même pas le temps de prononcer une parole, il la consomma sans aucune pitié. Signes Particuliers: Tout comme quiconque de normal -même si il n'est pas normal-, Nathanael est composé d'une armada de signes particuliers. En même temps, ce sont les petites "choses" qui vous rendent différents des autres. Qui font de vous une personne inégalable. Il y a tout d'abord les signes qui se trouvent en apparence. Tout comme nous l'avons vu dans le physique, les crocs. De belles canines acérées et brillantes, qui se rétractent bien sûr. Le jeune homme a adopté la manie de se regarder et de passer la langue sur ses dents de vampire à chaque fois qu'il croise un miroir, c'est qu'il en est fier! Toujours en apparence, il y a sa fameuse cicatrice sur la joue droite. Il ne s'est jamais rappelé comment il se l'est faite puisqu'elle date d'avant sa transformation. Une balafre, ce n'est pas d'une grande beauté mais pourtant, elle rend encore plus séduisant Harrington. Passons au signe suivant. Comme tous les vampires, lorsque monsieur Nathanael est affamé, son regard commence doucement à sombrer pour ensuite virer au noir, et s'il ne trouve pas rapidement de la nourriture, des cernes apparaissent sous ses yeux. Pour terminer avec le physique, le jeune homme possède un tatouage, assez gros, situé entre ses omoplates. Ce n'est pas un tatouage joviale mais il s'harmonise avec l'esprit du jeune homme: C'est un ange, encore vivant, avec une morsure de vampire dans le coup et une goutte de sang qui coule. Je vous l'accorde, c'est très "gore" mais il est tellement bien fait que l'on dirait une oeuvre d'art. Abordons maintenant les signes plus intéressants, ils ne concernent plus le physique mais plutôt le mentale de Nate. Ce dernier tient un petit carnet marron, en cuire -usé avec le temps-, aux pages jaunis, et il y a inscrit tous les noms de ses victimes depuis qu'il est devenu vampire. C'est toujours d'actualité bien sûr. Il adore faire les présentations avant un meurtre. Tiens, en parlant de meurtre, il a un rituel après chaque assassinat qu'il commet. Il a toujours des jolies perles nacrées de taille moyenne dans ses poches pour la simple et bonne raison qu'il en laisse toujours une après avoir mangé, en guise de remerciement et de signature. Il prend le soin d'embrasser l'objet et ensuite de l'installer dans la main de sa proie inerte.{ Romance { Once Upon a Time: Before The Transformation: "Je m'appelle Nathanael et je naquit en mille cinq cent quatre-vingt seize. En vérité, je ne me rappelle absolument pas du jour de mon anniversaire et encore moins de mon nom de famille d'origine. Et je trouve le moyen d'en avoir rien à faire. Vous savez, lorsque nous subissons la transformation, il arrive d'oublier des souvenirs de notre vie humaine qui pouvaient être importants, mais moi j'ai pas oublié grand chose. A présent, laissez-moi vous raconter mes dix-sept premières années. Je ne sais pas non plus le lieu de ma naissance, mais je sais que je suis sortie du ventre de ma mère sur la Terre Anglaise. Je suis donc Anglais. Mon éducation fut tout ce qu'il y a de plus strict, je me devais d'être toujours serviable envers mes parents, étant fils unique. Tout n'était pas comme aujourd'hui, la vie était moins simple, personne ne se tutoyait et les dames étaient vêtues de longues robes que l'on porte aujourd'hui aux bals. Nous habitions aussi le plus souvent dans des châteaux, enfin suivant les moyens de la famille, car les paysans ne pouvaient pas. Pour ma part, je demeurais dans un château qui me paraissait immense étant jeune. Un grand châteaux, d'une magnificence spectaculaire, où je me perdais chaque jour dans les couloirs, où j'exécutais la plupart de mes bêtises malgré la sévérité de mes parents, qui abhorraient mon attitude de petit garçon "je fais ce que je veux", à la limite du vulgaire. Mais je n'avais pas d'autre ami que moi-même, je devais bien trouver de l'occupation pour ne pas mourir d'ennui. Alors j'encrassais le sol, je sabotais des sublimes toiles de peintres mondialement connues et qui valaient certainement une fortune, je brisais des bijoux à ma mère, je cassais les lits en sautant dessus de toutes mes forces, j'embêtais les domestiques. Et oui, j'ai accomplis de nombreuses âneries, mais c'était le seul moyen de remplir mes journées. Il y avait aussi un grand nombre de pièces, gosse, je m'amusais à les compter une par une avant de m'endormir. A présent, je ne me rappelle plus le nombre. Ma famille était tout ce qu'il y a de banale dans la bourgeoisie, -apparemment- grande, et mes parents aristocrates, ces derniers étant jeunes, j'étais leur unique enfant. Ne sachant plus quoi faire de moi, ils engagèrent un précepteur dès mes cinq ans qui venait chaque jour accomplir ses leçons d'éducation, car j'étais le fruit d'une enfance bien trop gâté et son devoir était de rattraper cela. Un an plus tard, mes parents étaient fière de voir leur petite progéniture devenir quelqu'un de sage et de mature. A six ans je savais lire correctement et jouer du piano qui était l'une de mes grandes passions, j'observais la moindre des petites choses avec beaucoup d'attention. J'évoluais peu à peu, en apprenant à vivre dans la solitude, mes parents avait bien mieux à faire que de s'occuper de leur propre descendant. A huit ans, on me priva du seul acolyte qui était resté avec moi pendant toutes ces années, qui était tout près de moi lorsque j'avais peur des violents orages et que je courais me cacher dans le grand placard sous l'escalier -qui regorgeait des vieux objets et d'une bougie pour éclairer-. C'était mon ours en peluche. Il n'était pas beau, il lui manquait un oeil, l'une de ses pattes avaient été déchirée et re-cousue, il était souillé mais on me disait que je n'avais plus l'âge pour cela. Du jour au lendemain on le jeta aux ordures. Mon ours en peluche. Le gamin que j'étais quelques années auparavant aurait certainement hurlé, et se serait roulé par terre pour retrouver sa stupide peluche mais il n'en était plus ainsi, j'avais changé, j'avais évolué. J'étais âgé de onze ans lorsque j'étonnai mon précepteur avec une longue disserte racontant mes dernières observations. J'aimais apprendre et lire, jouer du piano. Je ne voyais personne en dehors du château, je n'avais pas le droit de sortir. Je rêvais de liberté en courant dans le jardin, en tournoyant sur moi même et en me baignant dans la petite rivière au bout de notre parc. Je devenais un homme conquérant de plus en plus le coeur des mes parents. mais j'avais cette envie de m'échapper pour respirer. Mais à l'époque, nous ne désobéissions pas aux parents comme les jeunes le font actuellement. Car nous, on craignait d'être punis à coups de fouet. J'avais dix-sept ans lors de ma première sortie, j'étais tellement heureux que je m'étais vêtit du plus beau vêtement pour l'occasion, je m'étais même légèrement maquillé, je portais ma belle perruque blanche qui était pour les ambiances festives et je m'étais parfumé. Mon père qui devait m'accompagner eut un empêchement, je suis sortit seul. Je me baladais dans la rue, en sautillant, en étant aussi comblé qu'un petit oiseau quittant son nid. J'explorais le moindre endroit de ma petite ville, j'inspectais les gens et il m'arrivait de paniquer quand je me retrouvais au milieu d'une foule. Du coup, l'envie de m'aventurer dans une petite rue abandonnée me prit. Et c'est là que je l'ai vu. Il était doté d'une grande prestance devant faire des jaloux. Son regard était pénétrant et j'ai pu percevoir deux canines alors qu'il me souriait. Il me demanda comment je trouvais ma vie, si elle était belle, et si je voudrais vivre éternellement. Pourquoi toutes ces questions? Je ne comprenait pas. Mais je ne pus m'empêcher de lui vouer une admiration, car il était ma première rencontre depuis ma sortie du château, et car il était fort, je le sentais. Il semblait tant invincible, et le désir de lui ressembler montait en moi. Un sourire timide accroché au visage, mon regard encore enfantin plongé dans le sien, et voilà que je me retrouvais à lui demander de rendre ma vie meilleur..." |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mer 30 Juil - 23:53 | |
| During the Transformation
"La phase de la transformation fut certainement le plus douloureux moment de toute ma vie. Au moment même où il a enfoncé ses canines dans les veines de mon cou pour aspirer mon sang, je sentais mon existence perdre l'équilibre, m'échapper peu à peu, mon âme s'arracher pour disparaître. Durant ces longues minutes où nous planions aux dessus de la ville, je me remémorais tous mes souvenirs, les plus beaux. Rien d'autre que les plus beaux. Certainement pour me torturer l'esprit en espérant que je regrette d'avoir sacrifié mon âme au diable. Pour que je me dégonfle ou bien pour me pousser à penser tout cela et résister, pour montrer que l'homme que j'étais possédait la force d'être l'un des leurs. Mais je n'étais pas borné, ma plus grande qualité était certainement la détermination et je ne comptais pas abandonner, je souhaitais plus que tout aller jusqu'au bout. Car je savais qu'après la souffrance suivrait la récompense. Que la liberté me donnerait un bien fou. Mais je n'avais pas encore connaissance que je devrais laisser mon passé derrière moi. Il ne me l'avait pas encore annoncé, sûrement de peur que je change d'avis, mais dans ce cas, il m'aurait achevé. Les images tournoyaient encore et encore dans mon esprit, moi petit, moi au piano, mes bêtises, mon ours en peluche, mon placard sous l'escalier, moi au clair de lune, moi et ma famille, moi adolescent, ma réussite, maman, papa. Et d'un coup, plus rien, le noir complet dans ma tête. Je sentis mon corps s'écraser lourdement sur le béton. Une douleur atroce m'envahissait, mon corps allait exploser à tout moment. J'avais peur, je n'avais jamais été aussi effrayé comme cela de toute ma vie. Que se passait-il? Pourquoi mon esprit devenait-il soudainement trop grand pour mon corps? Il fallait que cela cesse, je n'en pouvais plus, c'était trop éprouvant et dangereux, je ne savais pas si je tiendrais vraiment le coup. C'est avec difficulté que je posais les yeux sur celui qui m'avait meurtri, lui aussi il semblait souffrir, et j'en étais bien content. Mais il demeurait très faible, trop faible. Pourquoi ne m'avait-il pas prévenu de cette affliction? C'était pire que tout, la torture était intense. Je me sentais à la fois faible et puissant, je ne saurais le décrire. Je n'avais même plus l'envie de crier, je voulais juste revenir en arrière. Cela dura pendant des jours, de nombreux jours, c'était ultime, c'était suprême, je me suis pratiquement cru mort. Alors que j'ouvrais les yeux pour la première fois en quelques heures, il était là, à genoux près de mon "cadavre", à enlever sa grosse bague pointue pour se l'enfoncer dans le poignet et créer une parfaite ligne droite de sang. Comment avait-il réussi à se relever après ce qu'il venait de se produire? Je me sentais si apathique, et affamé. J'ai du boire son sang sans m'opposer, chose qui me répugnait au début puis au finale, que je trouvais bonne, même très bonne. J'attrapais son bras et mordais sans pitié comme un loup dévorant sa proie. J'avais besoin de retrouver ma forme. Il me stoppa vite en me précisant qu'il est bien trop risqué d'en boire beaucoup. Des journées passèrent, où je souffrais toujours autant et que je me retrouvais à me nourrir de sang de rats et d'autres animaux tout au long de ma transformation. Petit à petit, la douleur s'atténuait. Mes canines se révélaient être bien acérées, ma force surnaturelle, mon agilité excellait et ma peau était devenu pâle et froide, très froide. Je pris bien vite connaissance de mes nouveaux pouvoirs. A partir de ce temps, j'étais un homme nouveau, un homme qui avait eut ce qu'il voulait, un homme libre. Et mon "maître" émit le jugement que je n'avais plus besoin de lui, que j'avais tout appris et qu'à présent, nous devions nous séparer. Je l'accorde, j'étais un peu triste mais prendre mon propre envole était jouissif. Un homme nouveau, un homme libre. L'oiseau qui quittait enfin le nid pour de bon, sans aucune appréhension."
And Now:
"A peine j'eus quitté le cocon que je rencontrais une personne. Une belle personne. Alors que je traversais un vieux tunnel abandonné, à la recherche de rats ou autres bestioles qui auraient pu satisfaire ma faim je croisa quelqu'un. Un individu étrange et intriguant. Il me paraissait encore plus grand que celui qui a fait de moi ce que je suis à présent. Oui, avec une prestance plus élégante. Je me sentais tout bête à côté moi, à m'abreuver de sang de bêtes alors qu'il devait depuis longtemps se nourrir d'humains. Et oui, je l'avais remarqué qu'il était comme moi, différent de tous mais normal pour notre espèce. Je l'observais avec crainte et méfiance alors qu'il me parlait de lui, de tout ce qu'il a pu faire depuis qu'il est vampire. Je me méfiais mais j'étais heureux et intéressé, alors je l'écoutais avec une grande attention. Il s'appelle Noah Harrington. Et puis ce fut à mon tour de me présenter. Le trou noir. En fait je ne me rappelais que de certaines choses sur mon identité, mon prénom et mon âge. Nathanael. Dix sept ans, bientôt dix huit. J'étais encore très jeune. J'admirais Noah car il était le grand-frère que je voulais, cool. Ouais, il était cool. Je l'accorde, ce n'est pas un argument très valable mais quelque chose me reliait à lui, je le sentait, quelque chose de fort, de vrai, d'intense. A partir du jour où je l'ai rencontré, il me prit sous son aile, nous passions toutes nos journées et nos nuits ensembles et il m'a confié le nom de famille "Harrington" en totale confiance. J'étais touché, honoré, et j'en passe des meilleurs. Je ne savais pas vraiment comment le remercier. J'y ai réfléchi pourtant. Et puis un soir je suis revenu à notre "maison" accompagné d'une créature dotée d'un grand charme. Elle était pour lui. Le cou à la peau tendre comme on l'aime, et le sang -que j'avais goûté préalablement mais à son poignet- avec un petit goût sucré absolument exquis. Je crois que sa lui a plu, car à partir de ce moment, nous allions souvent nous divertir les soirs en sortant tout notre charme pour croquer de belles demoiselles. Nous devenions des complices, des frères. Et puis de nombreuses années passèrent. Je ne cherchais même plus à penser à ma vie avant la transformation, à ma famille ou à mon ours. En vérité, j'ai changé. L'homme que j'étais, le gentil garçon serviable est devenu un monstre de la pire espèce lors de sa première sortie. J'en avais marre d'être un foutu modèle d'amabilité, il fallait que cela cesse et la transformation a été impeccable pour moi, une transformation douloureuse qui a chassé des souvenirs de ma mémoire mais qui m'a rendu la vie plus belle. Qui m'a rendu plus cruel. La famille Harrington déjà composée de la grande Magdalena, ausis époustouflante que sa beauté, de Noah, mon meilleur ami, celui pour qui je pourrais accomplir de grandes merveilles et de moi-même, s'agrandissa au fil des années. Alekseï, formé par Noah, ensuite vint Ethan -que je n'apprécie pas, il faut dire ce qui est vrai- et enfin Emy. Une grande famille, mais tous ces derniers ont gardé leur nom de famille. Nous sommes deux à avoir eut la chance de bénéficier de "Harrington". Oui deux, car il y a Jamie. Elle, c'est une divine femme qui nous a rejoins il y a peu de temps, et même quelques mois. Dès que j'ai croisé son admirable regard, je l'ai prise sous mon aile. Son petit aire de fillette peureuse mais très forte me plu dès la première seconde. J'ai ressenti le besoin de l'avoir près de moi, de la protéger et de lui faire découvrir le monde de la nuit, même si elle en a déjà un peu connaissance. J'ai fais comme Noah a fait pour moi: Je rends service. Et puis tout sa, c'est quand même nouveau pour elle, comparé à nous. Nous formons donc une assez grande famille, la plus puissante en réalité. Nous sommes fières d'être ce que l'on est, des vrais séducteurs prêts à chasser dès qu'il le faut. Et en plus de cela, nous allons à l'école! Si c'est vrai! C'est pas génial? Non sérieusement, nous sommes à Poudlard, sans vraiment y être. On fait semblant d'y étudier mais personne n'a encore remarqué que nous ne sommes pas de vrais camarades, que notre but n'est pas de devenir des sorciers -nous sommes déjà des vampires, c'est suffisant-, personne ne remarque que nous n'habitons même pas l'école grâce à l'effet que l'on provoque. Quiconque nous approchant, demeure figé par la rayonnance que nous pouvons dégager, on nous admire, on nous envie, on nous haïs, on effraie et on intrigue. Tant mieux. Mais si nous sommes à Poudlard, c'est parce qu'un combat a commencé, la race vampirique contre la race humaine. Chaque jour est une attaque de notre part, nous nous nourrissons d'élèves, de gens habitants les alentours et personne ne se doute de ce que nous préparons. Nous prouverons qu'il n'y a qu'une race qui peut demeurer sur Terre et les humains seront bien trop désarmés face à nous pour pouvoir gagner la bataille."
My Family:
"Ah la famille, brave sujet. Mais souhaitez-vous parler de mes proches antérieurs ou des nouveaux? Même si je vous en ai déjà fais part dans ma romance, j'adore me répéter. Parlons d'abord de ma famille génétique qui se résume à une mère et un père. Oui, j'étais fils unique et du coup, ils attendaient beaucoup trop de moi sans forcément s'en occuper puisqu'ils avaient engagé un précepteur. Ils étaient tous les deux issus de familles aristocratiques, et évidemment, ils étaient eux-même aristocrates. Si je parle au passé c'est parce qu'à présent, ils sont morts à mes yeux. Ma vraie famille c'est celle avec qui j'évolue. Celle qui est présente pour moi depuis de très nombreuses années, voir des siècles. J'aimerais vous la décrire en détail mais cela prendrais encore des siècles en plus, j'ai beaucoup à dire sur chacun d'eux, j'aime observer. Je pourrais décrire aussi caractériellement que physiquement chacun d'eux, sans oublier leurs façons d'agir, de tuer, de penser, je sais exactement tout d'eux. J'ai eut beaucoup de temps pour les observer. Et surtout Noah, qui n'est pas mon meilleur ami pour rien, mon complice, mon frère. Je vous décrirais bien aussi ce fichu Meanings mais comme on dit "il n'en vaut pas la peine". Mais à part cela, il y a une personne, une petite nouvelle que je n'ai pas encore bien eut le temps de l'observer. Jamie. Mais je compte bien le faire, m'en charger de ce pas, elle sera mienne pour longtemps..."
Relations amicale:
"Vous savez, étant donné que mon caractère n'est pas un modèle d'amabilité et qu'en plus de cela je suis un vampire; mes relations amicale en sont profondément affectées. Traduction? J'en ai très très peu. Il y a des connaissances bien sûr mais je ne ressent pas le besoin -comme certains le ferait- de les ajouter à mes relations histoire de dire que j'en ai. Je me fiche de savoir que l'on m'aime où que l'on ne m'aime pas, je ne vis pas pour les autres, je vis pour moi même. Nous ne pouvons faire confiance qu'en nous même, il est inutile de s'appuyer sur les amis. Enfin c'est mon avis bien sûr, je respecte les opinions des autres, ce qui est normal mais me voyez-vous vraiment avec une grande lignée d'acolyte? Cela ne me ressemblerais en rien."
Relations amoureuse:
Extrait tiré du caractère. "[...] alors de quoi aurais-je donc peur? Ha je crois peut-être avoir trouvé quelque chose. L'amour. L'amour c'est tordu, c'est con, ça vous rend complètement niais et captivé, ça vous bousille à petit feu, mais c'est pourtant le plus beau des sentiments. Peur de tomber amoureux. Cette grande peur de devoir se donner à une autre personne, de vivre en quelqu'un d'autre, de donner tout ce que l'on a pour une personne, d'être à genoux face à elle, lui vouer une grande admiration, d'en être dépendant, de devoir lui répéter chaque jour qu'on l'aime. Car je me vois mal de devenir incapable de maîtriser mes sentiments -déjà que j'ai du mal avec ma colère-. L'amour est la plus grande des tortures, même pour un vampire de mon grade. Il n'y a que l'amour pour m'affaiblir."
"Voilà ce que représente l'amour pour moi. Ce sentiment m'effraie, me colle la nausée, me provoque des frissons, me fait trembler. En quatre cent cinquante-deux ans, il est vrai que j'ai connus de nombreuses femmes, ce qui est normal, c'est long quatre siècles et demi. Mais je ne leur ai jamais accordé d'importance, hop coup d'un soir et on achevait le travail là, je ne désirais pas aller plus loin et la plupart du temps, elles terminaient mortes. J'ai jamais su retenir ma faim sur les belles femmes. Je les aies toujours bien choisies pour être sûr de -vous m'en voyez navré de la vulgarité que je vais employé- prendre mon pied pour les préparer à un succulent repas. Sinon, pour revenir à nos moutons, je n'ai donc jamais connu l'amour mais souvenez-vous, je suis éternel et il se pourrait bien que la nouvelle arrivée d'une personne prise sous mon aile sache perturber tout cela..." |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
Nombre de messages : 1560 Age : 32 Mood : Sadistic AD Song. : WT. Angel Date d'inscription : 03/05/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 1005 years RelationShips: Puissance.: (99/100)
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mar 5 Aoû - 21:48 | |
| Sunshin eet moi sommes du même ais, ta fiche est vraiment superbe. N'ayant pas de nouvelles de l'autre Nathanael, tu es validé avec grand plaisir. | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mar 5 Aoû - 22:12 | |
| Désolés de l'attente hein xDDD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? Mar 5 Aoû - 22:24 | |
| Ce n'est pas grave Hihi j'ai Nate xD *Trop contente* |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? | |
| |
| | | | Nathanael Harrington. Que reste-t-il à aimer en lui? | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |