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| Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. | |
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Invité Invité
| Sujet: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Lun 28 Juil - 23:31 | |
| J’aurais voulu être une larme, pour naître dans tes yeux vivre sur ta joue et mourir sur tes lèvres.{ PreludeNom & Prénom: Faust, Laureline Faust.Surnom: Hum. Souhaitez-vous – vraiment – l’appeler par un quelconque surnom? À vos risques et périls restera un simple Laur’.Age: 17 ans en apparence, 479 ans en réalité. Lieu et Date de Naissance: Tant le temps glisse entre nos doigts, tant les vestiges de notre passé deviennent difficiles à débusquer à travers les décennies - voire les siècles. Maintes cicatrices morales m’échappent dorénavant, et seule une date semble se soustraire à la marée entraînant ma vie humaine dans ces vagues de cadavres que multipliait autrefois le mien. Un 24 décembre, jour de festivités; nuit de ma renaissance. La fin? Ou le début..{Vampires, what else?Caractère:Ô suffisance, quand tu nous tiens. Laur’ en est à la limite – franchie – du supportable. On l’insulterait qu’elle n’hausserait qu’un sourcil. Et qui, oui, qui oserait? La quatuor centenaire projette cette aura de froideur qu’une expérience d’insensibilité se comptant en siècles raffermit d’autant plus. Maints personnages s’y sont tentés et moults armes verbales y ricochent encore. Sans vouloir paraître impolie, elle y répond par une civilité mesquine, aujourd’hui disparue, et qu’elle conserve jalousement. Certes, elle réussit à paraître impénétrable aux yeux des autres, mais qu’en est-il, réellement? La demoiselle et sa démarche gracieuse et assurée les trompent tous. Sans exceptions encore connues. Elle a ses phobies, comme les humains et ce fut et restera un fait qu’elle nie atrocement. La perte de contrôle, et son insécurité – sans compter la folie qu’elle occasionne -, la terrifie. Et elle la connaît. Cette jeune dame de marbre apparaissant nullement perturbable la vit quand l’on dépasse ses limites de maîtrise d’elle-même. Dès lors, des larmes de rage s’échappent de ses yeux et elle en devient meurtrière. Pleurer? Oh, si. Environ une à trois fois par décennie. On le lui a déjà fait remarquer, même ça, ce n’est pas dans la norme chez un vampire, et depuis, elle se garde bien de se laisser aller devant qui que ce soit. Hautaine, elle répond aux questions que si l’envie lui prend, même chose lorsqu’il s’agit de cours à Poudlard. D’ailleurs elle déteste ce lieu de tourments où les sorciers l’effleurent parfois, et où elle se doit de jouer la comédie au point de faire croire aux autres qu’elle est comme eux, de sales humains. Après tout, elle est tellement plus – non? Physique: Peu importe son état – mouillée, sèche, bouclée, aplatie -, sa tignasse basanée reste visible à la ronde, épousant avec soin la forme de son faciès. Fait indiscutable; Laur’ est une vampire, et sa beauté – déjà reconnue lors de sa vie humaine -, en coupe le souffle. Ses traits semblent avoir été sculptés à même le marbre et sont proportionnés de manière à faire d’elle une de ces perfections en devenant presque agaçantes. Elle réduit ses voisins au statut de laiderons et amène tant de femmes à douter de leur propre beauté. Quant à ses iris, ils étaient d’un vert rare avant sa renaissance, et sont aujourd’hui d’un.. vert rare. La jeune femme a subit, comme les autres représentants de son espèce, un changement radical de ses yeux, alternant d’un brun chocolat-miel à un noir perçant. Elle s’y est conformée les premières années, mais la couleur finit par l’irriter, lui rappelant sans cesses qu’elle n’était plus elle-même. Ainsi, bornée à un point tel qu’elle renia ses particularités, elle adopta vite des lentilles de couleur émeraude, et recommença lentement à se tolérer. Sa taille est celle d’une sportive, mais conserve ses formes audacieuses. Elle est assez grande, mais se conforme tout de même à la moyenne. Sa peau est d’une pâleur translucide, accentuée par les reflets roux de sa chevelure, et les imperfections lui semblent inconnues. Sous ses yeux s’accentuent des cernes violacées, à l’image du degré de faim qu’elle supporte. Signes Particuliers: Laur’ conserve une unique cicatrice datant de sa vie humaine. En forme de croissant de lune, elle se situe à l’arrière de son épaule gauche. Ses iris sont émeraudes, ayant pour cause la présence de lentilles colorées. { Once Upon a TimeBefore the Transformation:La jeune fille virevolta à nouveau devant son miroir sur pied, se permit un délicat sourire et empoigna son jupon, son manteau et se chaussa pour filer à travers la maisonnée. Enfin. Arriver à l’avance pouvant transformer son innocente impatience en dépendance aux yeux de celui qui lui avait fixé rendez-vous, elle s’était donc languit durant dix – voire vingt! – minutes. À pas comptés passe le temps – n’est-ce pas? Son sablier s’écroule posément, prenant une attention particulière à empiéter sur sa placidité. Elle se prénommait Laureline, un prénom joli et simple, du même acabit qu’elle, et achevait ses dix-sept printemps. Elle n’avait jamais été très compliquée. Jeune, elle volait des flacons de parfums à sa mère et des échantillons de maquillage, destinés à la vieillir – à la faire paraître plus «femme», comme auraient dit ses sœurs. La douce Laur’ était la huitième née dans la famille et l'ultime cadette. Ses cinq aînées féminines et sa mère eurent toujours cet aspect d’irréprochable bourgeoise, quant à la benjamine, elle fut la plus turbulente. Elle voulait courir – vivre. Les tricots et le tissage; elle s’en contrefichait. Plutôt, elle grimpait aux arbres, en sautait, et salissait toutes ses toilettes, une à une. Toutefois coquette, elle jubilait à la moindre promesse de jeu ou de présent, et restait la véritable chouchoute, tant des domestiques que de ses parents. Un regard, un clin d’œil, un sourire et ils se voyaient tous séduits, et ce malgré ses courantes gaffes. James, sa dernière victime, ne paraissait pas avoir échappé à la règle. Or, c’était différent, cette fois. Il était fils de seigneur, certes, mais elle ne voulait pas s’en servir pour accéder à l’aisance dont elle avait toujours rêvée. Chose difficilement acceptable, elle L’aimait; pas de cette affection qui se créait parfois en femme et époux non! De cette légende quant au coup de foudre entre deux personnes, celle que lui avait raconté sa nourrice lors de ses neuf ans. Elle en était certaine, maintenant. La jeunette passa le seuil de la porte avec délice, pensant à l’après-midi en perspective. Sa grand-mère Luce elle-même s’en aurait retourné dans sa tombe si elle avait su, su que sa descendante sautillait de joie en traversant la prairie, vêtue d’une robe légère et sans nul chaperon autre que le soleil. Pourtant, nulle peur la traversait, sinon qu’il ne fut point là. Elle passa ses fins doigts dans sa tignasse, aveuglée par celle-ci dans sa course, et soudainement, ses pas comme son souffle se figèrent. À l’extrémité de l’éclaircie jaillissait une imposante silhouette de lumière, plus terrifiante qu’intriguante. La demoiselle eut comme réflexe de reculer, mais, souffrant des vertiges occasionnés par l’effroi, ses jambes chancelèrent et elle fit un faux pas, s’écroulant au sol par la même aubaine. «- Pourrais-je me permettre de ne point vous aider? » Résonna une voix, si proche d’elle qu’elle en sursauta.
L'interpellée releva les yeux, vexée. Pour qui il se prenait lui?! Elle tomba face à face à l'être de lumière et son sourire narquois. Bon sang! Comment avait-il fait pour être près d'elle aussi vite? Jura-t-elle, en panique.
Ce fut la dernière image qu'elle emporta de sa vie humaine, un homme La ridiculisant si ouvertement. Sa dernière sensation avant de sombrer dans le noir, elle, fut des crocs se posant sur sa gorge d'ivoire.During the Transformation:Les pupilles de Laureline s’ouvrirent sur un de ces ciels étoilés dont on se rappelle toute son existence durant – peu importe le temps qu’elle dure. Des rires d’enfants résonnaient au loin, et de où elle était, elle leur imaginait déjà ce sourire béât en contemplant leurs présents en cette fête hivernale – Noël. D’un coup, elle se rappela; James n’étant point venu et l’inconnu effronté. Mais peu lui importait maintenant, Laur’ avait toujours fait parti de ceux qui oublient vite. Ce qu’elle désirait vraiment, là, c’était de rejoindre les gamins et de jouer avec eux. D’oublier la déception amère qui l’habitait et de se mêler aux plus jeunes. Têtue, elle esquissa un geste pour se relever, et sa main se raidit au contact de la nouvelle neige. Ce qu’elle avait froid! Ses doigts, blanchis et glacés, tâtèrent à nouveau le sol, cherchant un appui. Elle voulait se lever, repartir chez elle et se réchauffer. On ne lui accorda pas. Une douleur lacérante la cloua au sol, et elle en soufra le martyre. La jeune fille avait toujours vécu dans la chaleur des petites attention, dans cette euphorie permanente que lui avait offerte ses parents, venant tout deux d’une famille aisée. La réelle souffrance, elle ne l’avait jamais connue. Un hurlement non feint s’échappa de sa poitrine. Elle était au supplice, ses membres ne lui répondaient plus et des tisons semblaient lui brûler les jambes. Mais ses éclats de voix ne trouvèrent réponse. Les gloussements s’étaient tu, et des bruits de course se faisaient dorénavant entendre. Curieusement, Laur’ devinait qu’ils allaient dans le sens opposé de ses gémissements. Pourquoi? Ceux-ci, ces plaintes amplifiées par un nouveau déchirement au niveau des épaules, avaient quelque chose d’inhumain, de sauvage. Dans sa folie, elle rampa sous un arbre, grelottant tout en étant secouée de spasmes. Fiévreuse à un point tel que les flocons se liquéfiaient à son contact, la jeune fille finit par tomber dans un coma profond. Durant sept jours, elle se réveilla une dizaine de fois, chacune à un endroit différent. Elle devait se déplacer dans son – sommeil?
Son dernier réveil fut dans sa chambre, et elle se demanda un moment si elle avait rêvé, avant que sa mère lui confirma l’hypothèse contraire. « Mademoiselle, enfin réveillée. Les hommes ont ratissé la clairière durant une semaine, et seul hier fut susceptible d’un résultat. Selon les racontars, ils vous auraient retrouvé endormie dans la neige, brûlante de maladie. Mais qu’elle était donc cette ultime imprudence, Laureline?» Laur’ n’avait prêté qu’une oreille feinte d’écouter cet allocution plaintive. Elle avait faim, et les tartines disposées avec soin sur sa table de chevet étaient loin d’y répondre. Son estomac criait famine, mais famine humaine. De sa seconde oreille, elle avait illusion d’entendre les battements de cœur et la veine de frustration battre sur le front de son interlocutrice. L’appétit lui revint inopinément. Que lui arrivait-il? Ne comprenant pas du tout la situation et ses curieuses envies de sang, Laureline mis cela sur le compte de la fatigue et maugréa devoir prendre l’air, ne prenant même pas le temps de se chausser, tant sa soif en devenait pressante. La croyant souffrir des effets maladifs de son mal-être, sa génitrice s’interposa entre sa fille et la porte, inquiète. « Ferais-tu une rechute?» Souffla-t-elle devant l’incommodité de Laure.
La jeune fille se balançait de plus en plus vivement d’un pied à l’autre, à l’étroit vu la proche présence de sa mère. Son haleine parfumée la rendait hystérique. Affolée face à ce délire troublant, elle repoussa l’inertie de sa mère d’une brève poussée de main. Mais sous-estimant sa force, celle-ci se retrouva à perforer le mur tant la charge était puissante.
Choquée, Laur’ porta une main à sa bouche. Les doutes quant à la non survie de sa mère étaient irrévocables. Bientôt, des filets de sang se frayèrent un chemin sur la brique, attirant comme un aimant la faim de celle en deuil. Cette même personne s’écroula à genoux, poussant une plainte déchirante en voyant ses principes controversés, duquel ses anciennes valeurs commençaient à faillir. Certes, on ne tuait pas sa mère. Mais c’était déjà fait. On ne s’abreuvait pas à son sang alors. Mais c’était déjà fait. Laur’ s’était ruée sur la morte, goûtant avec délice sa première victime, ses origines également. Ce fut après avoir totalement vider sa mère, après s’être allongée à ses côtés, des larmes de rage déferlant sur ses joues, que le mot vampire s’estompa du brouillard des légendes, pour reconnaître l'une de ses représentantes.And Now:La tête de ladite Laureline Faust frappa la fenêtre avec une fureur tangible. Dieu qu’elle tenait en horreur ses nuits blanches, dieu qu’elles étaient noires, les pensées des nuits blanches. L’antique vitrail craqua sur le choc. Poudlard, poudlard. Capable de provoquer l’ennui des cours chez des centaines d’élèves à la fois, mais incapable de se procurer des carreaux de vitres résistants. Satanée école! Laure l’exécrait. Il n’y avait pas d’autre mot. Les potions, les sortilèges et la métamorphose; elle passa ses deux heures de cours à pester contre. Mais il y avait pire. Les défenses contre les forces du mal. Ça sonne sérieux non? Et bien, elle avait exploser de rire après avoir reçu sa note de dissertation sur les vampires. Comment avait-elle dit déjà..? « Insensible à l’ail, au soleil et parfois végétariens. Je serais curieuse de savoir si vos sources sont les mêmes que divers élèves m’ayant affirmer avec détermination qu’ils habitaient dans la forêt interdite! Vous me décevez sévèrement Mlle Faust. » Laureline s’était gardé de lui révéler que la source, elle l’avait devant elle, mais passons. On l’avait inscrite en cinquième année, avec une cinquantaine d’étudiants prépubères. Quant à sa maison? Serpentard. La seule décision de la direction dont elle fut satisfaite. Enfin, du chapeau parlant. Qui eut l’infeste idée de donner vie à ce bout de tissus au fait? Il avait failli trahir ses origines devant toute l’assemblée, avant qu’elle ne l’arrête avec rage. Et parlons-en, de l’assemblée. Des milliers d’élèves sorciers, dont la moitié masculine la regardait presque en bavant. Au juste, c’est quoi? Ce sang de vélane chose? Les pas de Laur’ résonnèrent dans les couloirs alors qu’elle ne prenait pas garde du bruit. Elle se contrefichait de Rusard et de sa Miss Teigne. Qu’ils viennent, et elle en fera deux bols de pâté de chat. Avec sa baguette! Car oui, la jeune fille a des facultés. Elle s’en est rendu compte la première fois qu’on du jeter un sort en cours. Plutôt étrange qu’elles se soient pas manifestées à travers ses décennies d’existence. Quant aux autres vampires du château, elle l’ignorait. Apple Matthews comprit. En tout cas, elle, elle aimait Poudlard. Et bien, qu’elle s’amuse, qu’ils s’amusent tous! Laureline, elle, s’arrangera pour démolir un mobilier de plus chaque nuit, vu leur manque de solidité.
Dernière édition par Laureline Faust le Mer 30 Juil - 22:21, édité 24 fois |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
Nombre de messages : 1560 Age : 32 Mood : Sadistic AD Song. : WT. Angel Date d'inscription : 03/05/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 1005 years RelationShips: Puissance.: (99/100)
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Lun 28 Juil - 23:33 | |
| Bienvenue Mlle, mais tu t'es trompé d'endroits pour poster ta fiche! La c'est pour les validés! Je déplace tout de suite ça!^^
Edit: Sinon merci de t'etre inscrite, et ne t'inquiètes pas, on reserve le personnage!^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Lun 28 Juil - 23:36 | |
| Gloups et oups! Désolé xD et merci! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Mar 29 Juil - 12:10 | |
| Bienvenue et merci de ton inscription ;] Le code est bon. Bonne chance pour la suite ^^ Merci pour les compliment aussi, sur le forum =) ( hé, c'est pas un forum sur twilight, on va pas faire comme les autres forum içi ) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Mar 29 Juil - 21:48 | |
| Maiis derien! =D Vous avez de la chance; d'hab au lieu des compliments, je fais une critique de la mort - genre plus longue quee la fiche xD - et j'efface tout après qu'on est lu. Mais là c'était trop bien et il avoisinait 1h du matin, alors j'ai pas réussi à faire ma mishante.. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Mer 30 Juil - 21:10 | |
| { RomanceMy Family: Famille? Quelle famille .? Les dégâts du temps ou Laureline elle-même les auront emporté ils y a des siècles. Laur’ tua sa mère, c’est vrai. Mais qu’elle importance, puisqu’elle serait morte une petite trentaine d’année plus tard? Quant à son père et ses frères et sœurs, elle les regarda périr, un après l’autre. Drôle non? Ils souriaient, puis mouraient. Et dès lors, bon sang qu’elle les haïssait. Elle aurait tant aimer pouvoir s’achever, elle aussi. Et avoir droit à ce repos éternel au lieu d’être condamnée à mourir pour l’éternité, elle qui, jeune, rêvait de vivre à jamais. Relations amicales: Si elle aura des amis, ce ne sera certainement pas des sorciers, et la plupart l’ont comprit. Quant à ceux qui s’acharnent, elle se promet de leur régler leur compte à leur sortie de Poudlard. Mais il y aurait peut-être une relation d’amitié chez Laureline. Apple Matthews. Une vampire également. D’un siècle de plus qu’elle. C’est probablement l’unique personne qu’elle ait jamais respecter dans sa seconde vie. Mais celle-ci, elle en fut obligée. Après avoir passé trois siècles à se nourrir de sang humain, elle la rencontra, et lui apprit à être « végétarienne». Depuis, une notion d’égard s’est installée entre eux. Au final, sans être les meilleures amies du monde, elles s’estiment et se le rendent en civilité. Relations amoureuses: Laur’ eut un unique amour, et ne pu jamais le vivre. Ce James, jamais venu au rendez-vous posé par lui même, il aurait eu une belle vie, si la condamnée n’avait pas décidé de la lui pourrir. Chacune des épouses qu’il prit, elle mourut dans un accident tragique aux « causes » inconnues. Malédiction! Jurait-il de la même manière quant ses nouveau-nés disparaissaient les uns après les autres. D’un pas passa l’amour à la haine – non? Et bien cet exemple restera le meilleur. Laureline ne lui permit jamais de vivre la vie qu’elle aurait souhaîter avoir avec lui, le tenant responsable de sa mort intemporelle. { Who are You, My Sweety Dear?Surnom: Miss Sara’. - À mettre en sourdine car elle parle trop. Et par son couzz et ses amies; La Sadique_* - ne me demandez pas pourquoi .!Boys or girls? Devine !Où avez vous connu le forum? Couçi, couça. Top par ici, partenaires par là.Niveau de rp: Un vieux sage m’a un jour dit.. Nah ! Vaut mieux que vous jugiez..Qualité du design: J' adore! – Et c’est rare. Il n’est ni Trop sombre, ni trop coloré, et les graphiques sont de qualité. Un mot; bravo.Qualité du Contexte: Il y a de plus en plus de mélange twilight-HP, mais de moins en moins qui se tiennent. Votre contexte est de ceux qui ont du sens. Avatar: Daneel Harris.Autres: J'avoue que j’ai été surprise que ce ne soit pas Kristen Stewart qui fusse l’avatar féminin principal, que les noms ne soient pas les mêmes, et qu’aucuns ne se répètent. En gros, j’ai été contente – et soulagée. - Sinon, j'ai posté la fiche pour réserver le personnage, mais elle n'est pas complète du tout. Elle devrait être terminée demain. (heure du Québec)Code: I'm not afraid of you. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Mer 30 Juil - 21:13 | |
| Walah! J'aii fini! |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
Nombre de messages : 1560 Age : 32 Mood : Sadistic AD Song. : WT. Angel Date d'inscription : 03/05/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 1005 years RelationShips: Puissance.: (99/100)
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. Mer 30 Juil - 21:23 | |
| VALIDEE sans probleme!
Bon jeu parmis nous! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. | |
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| | | | Laureline Faust - Celle qui voulait vivre à jamais. | |
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