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| &&_ Joey |Bloody Angel| | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: &&_ Joey |Bloody Angel| Mar 2 Sep - 19:05 | |
| { Prelude
Nom { Norton Prénom { Joeylyn Surnom { Joey Age{ 16 en apparence, 54 en réalité. Lieu et Date de Naissance: Un soir d’Halloween glacial, à Edinburgh. Maison : Gryffondor
{Vampires, what else?
« Ferme-la, Lorenzo. » « Quoi, qu’est ce que j’ai fait encore ? » « T’existe, ça suffit à faire l’affaire. » « Ok, t’es encore énervée pour rien… »
Joey fronça les sourcils, contrariée. Elle croisa les bras sur son torse et roula sur un côté, secouant le lit sur lequel ils s’étaient allongés, dos à dos. Il avait le don de lui mettre les nerfs en pelote. Enfin, à dire vrai, elle avait le don de se les mettre en pelote toute seule, sans l’aide de personne, mais il était toujours la micro goutte qui faisait déborder le vase. Pourtant, elle savait que c’était sa faute, mais elle n’arrivait pas à s’en convaincre. Il faisait une même tête qu’elle : une moue boudeuse, des légères rides au coin des yeux , et au bout d’un moment elle se mit à sourire. Aidan, qui la fixait furieusement, se détendit lentement. Lorsqu’elle se mit à rire, il haussa les épaules.
« J’arrive jamais à te comprendre. Pourquoi tu rigoles ? » « Parce qu’on est trop ridicules tout les deux. » « Non, rectifie : tu es trop ridicule. Tu réalises combien t’es lunatique ? »
Joey leva les yeux au ciel, soupirant. Enfait, elle le savait très bien, mais elle n’arrivait pas à le remarquer naturellement. C’était comme quand elle se mettait à lui hurler dessus, à pleurer de rage, à le frapper de toutes ses petites forces. Elle ne se rendait compte qu’après s’être totalement calmée qu’elle était incroyablement colérique, à la limite de l’hystérie parfois.
Pourtant, elle n’arrivait pas à maîtriser ses émotions. Quelles qu’elles soient d’ailleurs. Lorsqu’elle est heureuse, sa joie déborde de partout, son visage s’éclaire comme une lanterne et son sourire aussi; lorsqu’elle est triste elle fait pleurer les gens avec elle; enfin, c’est une grande sensible. C’est le trait de caractère qu’elle hait le plus chez elle, celui qui l’embarrasse constamment.
Comme si elle avait besoin de quelque chose pour l’embarrasser… Joey ne supporte pas qu’on la regarde trop longtemps, parler aux gens qu’elle ne connaît pas, devoir parler devant sa classe… Elle devient bleue, puis rouge, balbutie puis disparaît complètement. Une vraie timide.
« Désolée. » « Mouais, tu dis ça tout le temps. » « Tu veux du chocolat ? »
Il la regarda, un sourire naissant sur son visage.
« Depuis quand on mange du chocolat ? Et qu’est ce que tu fous avec du chocolat dans ta poche ? »
Elle haussa les épaules, un instant un peu peinée.
« Ca me manque. J’avais toujours du chocolat sur moi avant. J’aimais bien partager ce que j’avais. » « Oh poulette, c’est pas grave, on peut encore partager maintenant ! »
Elle lui lança un regard noir, si meurtrier qu’il se tût immédiatement. Même si ça faisait déjà un petit bout de temps qu’elle était vampire, elle n’avait pas réussi à perdre totalement son humanité. Sa générosité et sa relative gentillesse étaient restées bien accrochées, et ses vieilles habitudes également.
« Tu crois que je serais aussi pessimiste si j’avais pas été mordue ? » « Vu la poisse qui te suit partout, t’aurais eu toutes les raisons du monde d’être pessimiste. En fait, t’aurais été complètement stupide si t’étais pas pessimiste. » « Merci, Lorenzo. Tu me remontes le moral là. » « Roh, arrête… »
Il ébouriffa ses cheveux, la faisant rire un peu. Elle aimait bien se chamailler avec lui. Enfait, elle aimait bien jouer les gamines de temps en temps, surtout avec Lorenzo. Pourtant, elle est très mature, dans le sens où elle comprend bien le monde qui l’entoure et sait réfléchir. Elle aurait aimé être plus patiente, mais malheureusement c’est un de ses pires défauts.
Rien de notable, pendant seize années. Les habituelles querelles et bêtises entre frères et sœurs, les amitiés qui se font et qui se défont…Joey avait une vie normale. Une petite vie tranquille d’ailleurs, dans la ville de New Orleans, si on oubliait les fréquentes tempêtes et ouragans…
Diving off the deep end .
« Joey, mon ange, ça va ? Tu n’as rien ? » « M’man, c’est quoi ce bordel à a peine cinq heures du matin ? » « Arrête de jurer comme une charretière, c'est pas joli dans la bouche d'une jeune fille.»
Assise sur son lit, ou plutôt flottant dessus, Joey brassait l’eau avec ses jambes, l’air absent de l’ensommeillée sur le visage, tandis que sa mère s’approchait lentement d’elle.
« Viens, les secours sont en train d’évacuer les habitants de la ville. » « C’est pas un peu tard ? » « Joey, cet ouragan est une totale surprise. Ils n’ont rien pu prévoir. » « Tu parles, on en a un chaque année ou même plus et ils arrivent pas à prévoir…Enfin, où sont P’pa et Adam ? » « Dehors, ils aident les secours. » « Ils regardent trop la télé tous les deux. Bientôt ils vont mettre des collants par-dessus leurs slips.» « Y'a rien de mal à vouloir aider les gens, Joey. Arrête d'être aussi sarcastique.»
Joey se releva et rejoignit sa mère lentement, l’eau glacée atteignant le niveau de son nombril lorsqu’elle fût debout.
« Qu’est-ce qu’on va faire ? On va les aider nous aussi ? » « Non, ton père va vous emmener, toi et ton frère, puis on vous rejoindra tous les deux. Vous êtes prioritaires. »
Joey ouvrit grand les yeux, ne sachant s’il fallait rire ou pas à cette déclaration.
« Tu plaisantes j’espère ? » « Non. Allez, dépêche toi Joeylyn, on doit faire vite ! »
Tout le premier étage de la maison était submergé, et elles durent passer par la fenêtre de sa chambre pour pouvoir rejoindre la barque de son père, quelques mètres plus loin. Le courant était fort, et elles eurent du mal à monter.
« Alors Joey ? Tu dors tellement comme une souche que les cris et l’eau qui montait ne t’on pas réveillée ? » « Ferme-la, Adam. C’est pas drôle. » « Pourquoi tu souris alors ? »
Ils atteignirent la plateforme d’accueil des secours. Joey ne pouvait s’empêcher de trouver son père beaucoup trop silencieux, tendu et nerveux. Ca leur était arrivé plus d’une fois, et il avait toujours été d’un sang froid incroyable. Il l’inquiétait et la rendait nerveuse à son tour. Quant à Adam, il était égal à lui-même : il plaisantait avec leur mère avec plus d’insouciance que jamais.
Joey fut très froide lors de leur séparation, ce qui les choqua. En réalité, elle refusait de laisser ses parents seuls, et réfléchissait à un moyen de les suivre sans qu’ils s’en aperçoivent. Elle attacha discrètement une des bandes rouge et blanche que l’eau emportait à la barque, priant qu’elle soit assez longue. Enfait, elle était plus longue qu’elle ne l’espérait, et elle pouvait les suivre sans être repérée.
« Qu’est-ce que tu fous ? » « Je vais les suivre. J’veux être sûre qu’il leur arrivera rien. » « T’es malade ou quoi ? Viens avec moi, ils nous rejoindront après ! »
Elle lui lança un de ces regards dont elle seule avait le secret. L’effet fut immédiat.
« Je viens avec toi alors. » « Si tu veux. Je te préviens, je te ferai pas de bouche à bouche si tu te noies. »
Ils nouèrent solidement la bande qui s’éloignait de plus en plus vite à une bouée de sauvetage, à laquelle ils s’accrochaient de toutes leurs forces. La barque, même si elle était hors de vue, les emmenait toujours plus loin, où il n’y avait plus âme qui vive. Ils échangèrent un regard inquiet, surtout lorsqu’il virent leur père regarder suspicieusement autour de lui. Ils se cachèrent sous l’eau le temps de quelques secondes pour ne pas être repérés, et purent distinguer la voix tremblante de leur mère.
« Chéri ? Pourquoi tu nous as amenés ici ? Je croyais qu’on devait attendre sur le toit de la mairie, comme tout le monde ? » « Ta gueule, Swanilda. Pour une fois dans ta vie, ferme-la ! T’es vraiment la reine des connes, j’arrive pas à y croire! »
Joey commença à avoir réellement peur, et Adam semblait sur le point de se jeter sur la barque pour le frapper. Ils ne l’avaient jamais entendu employer un tel langage, encore moins pour leur mère. Elle pressa le bras d’Adam, qui fulminait.
« Qu’est-ce qui te prend, James ? »
Un cri de douleur les fit trembler, les pétrifiant d’horreur. Il l’avait attrapée par les cheveux, ses magnifiques cheveux d’ébène, et la regardait de la même façon qu’un assassin l’aurait fait.
« Ca fait tellement, tellement longtemps que j’attends ça. Des années enfait. »
Il la fit tomber de la barque, retenant toujours sa tête dans l’eau par les cheveux. A ce moment là, ni Joey ni Adam ne purent s’empêcher de monter sur la barque en criant. Elle se jeta sur la main gigantesque qui tenait sa mère prisonnière, mordant, griffant, frappant, tout en la tirant par le bras, mais il était trop fort pour elle. Et pour Adam, qui avait beau le frapper de toutes ses forces.
Il riait. Joey avait toujours cru que les méchants dans les dessins animés étaient obligés d’avoir ce rire à glacer le sang pour ne pas être discrédités, mais avec l’entendre lui la rendait folle. Elle se mit à hurler de toutes ses forces, espérant que quelqu’un l’entendrait, mais il avait bien prévu son coup. Ils étaient hors de la zone de patrouille, loin des gens, juste à côté d’un immeuble désaffecté. Elle frappait et griffait alors plus fort, comme son frère, mais il continuait de rire, et de grosses bulles s’échappaient au dessus du corps de leur mère. Elle plongea alors dans l’eau, essayant de tirer sa mère par le bas pour la remonter loin de la barque, mais c’était totalement vain.
Lorsqu’elle remonta, Adam était à terre, serrant ses bras contre son ventre. Elle rassembla tout son courage pour le frapper à l’endroit sensible, ce qui fit effet : il relâcha leur mère sur le coup, mais il sortit un revolver inconnu. Le coup partit tout seul, et au lieu d’atteindre Joey, il atteignit Adam, à quelque centimètres trop à gauche. Elle n’eût pas le temps de comprendre ce qui s’était passé et fut projetée contre le mur de l’immeuble, où ma barque était à moitié posée. Il la prit à la gorge, appuyant son revolver contre sa tempe.
« J’ai essayé de vous protéger de ça. Je ne voulais pas vous tuer. »
Joey se fichait de mourir. Le corps sans vie de leur mère était parti à la dérive, tandis qu’Adam gisait sur le fond de la barque, une balle dans la poitrine. Elle lui cracha à la figure, ce qui lui sauva la vie. Il avait fait un geste pour la frapper, mais un homme lui avait déjà tiré une balle dans le dos. Il s’effondra sur elle, un filet de sang coulant de sa bouche et tachant son t-shirt.
« Tu vas mourir aujourd’hui. D’une façon ou d’une autre...»
Il appuya sur la gachette une dernière fois, la blessant non pas à la tempe mais au cou. Ces paroles la hantèrent toute sa vie, même après sa mort. Elle était morte ce jour là, mais pas de la façon dont elle l’avait imaginée.
« Mademoiselle ?! »
L’homme venait en courant, si vite qu’elle n’arrivait pas à le voir, une sorte de flash blanc. Enfait, elle n’arrivait pas à comprendre comment il avait pu tirer de si loin. C’était impossible. Il s’arrêta devant elle, visiblement torturé. Elle ne comprenait pas, mais elle n’arrivait pas non plus à réfléchir. Le sang continuait de couler à flots, comme une fontaine, mais elle ne sentait plus la douleur. Le corps d’Adam, sans vie, gisait sous ses yeux dans une mare de sang, et son père était à ses pieds. Sa mère était quelque part sous l’eau, comme les objets inanimés emportés par le courant.
« C’est fini. Ne vous inquiétez plus. » « Oui, effectivement. C’est fini. »
Elle s’effondra, inconsciente. Elle n’eût même pas le temps de ressentir la morsure dans son cou. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| Mar 2 Sep - 19:25 | |
| Trois jours plus tard.
Elle ouvrit les yeux, doucement. La lumière du jour était trop forte pour elle. Le feu s’était enfin éteint, et elle détendit doucement ses muscles. La lumière s’intensifia, irradiait devant ses yeux, pourtant un homme était penché sur elle, concentré.
« Mademoiselle ? » « Je…Qu’est ce que… C’est vous qui…» « Je vous dois des explications. »
Quelques heures plus tard, recroquevillée dans un confortable canapé, Joey essayait de croire à toutes les choses que son « créateur », comme il disait, lui avait avoué. C’était comme la prolongation d’un cauchemar, comme si elle n’en avait pas eu assez. Et cette soif, cette horrible soif qui la faisait trembler comme une feuille, qui lui donnait envie de tout casser et tout déchirer dans ce chalet…
« Je vais chasser. Viens avec moi. Tu es morte de soif, et c’est normal quand on vient d’être « créé ». » « Comment tu le sais ? » « En dehors du fait que tu trembles de la tête aux pieds, le fait que tes pupilles soient rouge écarlate montre que tu as soif. Du moins lorsque tu es nouvelle née. » « J’ai les yeux rouges maintenant ?! » « Oui. »
Elle se leva d’un bon, et chercha n’importe quelle surface réfléchissante. Qu’elle finit par trouver : un plateau d’argent. Il n’y avait pas de miroirs dans le chalet, mais ce n’était qu’un choix de sa part. Elle se regarda longuement, examinant chaque détail. Ses cheveux étaient toujours d’un brun chocolat, mais plus soyeux et plus éclatants, sa peau était encore plus pâle que d’ordinaire, marmoréenne. Sa bouche était toujours mince, mais rose perle. Elle se recula, et vit qu’elle était plus mince, et généralement plus belle qu’avant.
« Tu m’expliqueras ça en route. » « Oh, c’est pas loin. Enfait, pousse la porte et on est arrivés. »
Elle le regarda, intriguée. Elle ne connaissait ni son nom, ni la raison pour laquelle il s’occupait d’elle ainsi. C’était un parfait inconnu qui l’avait sauvée de la mort en la damnant à jamais, condamnée à être vampire pour l’éternité. C’était tout ce qu’elle avait retenu. Ah, et qu’il ne buvait pas le sang des humains par principe. Elle poussa timidement la porte, et cacha à nouveau ses yeux de la lumière. Elle poussa un cri lorsque son regard se posa sur ses mains, qui brillaient comme si chaque pore de sa peau était incrusté d’un diamant. Elle n’eût pas le temps de demander une explication, une odeur irrésistible ravivant sauvagement sa soif.
« Hé, Jake, c’est un joli coin pour installer notre tente. Je sais qu’il y a un garde forêt quelque part par là. » « Ah, regardez sa maison est là haut, environ à trois kilomètres d’ici. C’est joli. »
Elle courait déjà vers eux, la faim lui brulant l’estomac. Elle avait besoin de boire leur sang, pas autre chose. Ca sentait tellement bon…
« NON ! »
Il s’était rendu compte, un peu trop tard, qu’elle avait décidé de faire un massacre. Il lui courrait après, mais il n’arrivait pas à la rattraper, elle allait trop vite pour lui, à cause de cette force incroyable qu’elle possédait grâce aux restes de son sang encore présents dans son corps. Elle n’était plus qu’à quelques mètres des adolescents imprudents lorsqu’il l’attrapa, la projetant à terre de toutes ses forces.
« Oh mon dieu, une explosion ! »
Le bruit était tellement soudain et important qu’en effet, il y ressemblait. Heureusement, ils étaient cachés par la faune luxuriante qui les entourait. Elle se débattait, griffait, mais il ne la lâcha pas, juste le temps que les campeurs s’enfuient en courant. Elle était trop forte pour lui, pour l’instant.
« C’est bon, ils sont partis. Calme toi. » « Lâche moi ! J’ai faim ! » « Je sais, viens avec moi. » « Non ! »
Elle n’eût pas le choix. Il lui apprit lentement à contrôler sa soif, sans jamais lui dire qui il était. Lorsqu’elle fut suffisamment autonome pour ne pas être réellement dangereuse, il la laissa partir. Puis, étrangement, tout se succéda avec une rapidité démentielle : elle fut admise à Poudlard, rencontra Lorenzo.
Tout aurait pu finir beaucoup plus mal.
« On était une belle famille. Enfin, c’est le souvenir que j’en garde. » « Vous vous disputiez jamais ? » « Bah si, mais c’était jamais bien grave. J’adorais ma famille. Ma mère, même si elle était un peu niaise, elle était adorable. Et mon frère c’était un vrai jackass, c’est un peu à cause de lui que j’ai eu autant de problèmes, mais sinon il était génial. Tu lui ressembles un peu défois. » « Et…Ton père ? » « Il était toujours très sérieux, mais il était gentil aussi. Il aimait bien avoir l’air de l’homme de la situation. Enfait, il l’a été jusqu’au bout si on y réfléchit bien. Il a assuré concernant son plan pour tuer ma mère. Trois pour le prix d'un.» « Ça c’était noir. Très noir. » « Tu ne connaissais pas ça chez moi, Lorenzo ? » « Heu, si mais pas à ce point. »
{ Who are You, My Sweety Dear?
Surnom: Noa
Boy or Girl?: Girl >.<”
Où avez vous connu le forum? After the Rain =)
Niveau de rp: Chais pas. =) Ca dépend de mon inspiration et de la personne avec qui je RP. Surtout ça d’ailleurs.
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Qualité du Contexte: Génial =D
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Autres: Les vampires ont-ils des capacités spéciales comme dans Twilight ?
Code: Bloody Sunday
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| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
Nombre de messages : 1560 Age : 32 Mood : Sadistic AD Song. : WT. Angel Date d'inscription : 03/05/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 1005 years RelationShips: Puissance.: (99/100)
| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| Mar 2 Sep - 21:32 | |
| Bienvenue! Je te valide sans probleme Par contre tu t'étais gourrée ta presentation ne devait pas etre mis là, c'ets la catégorie pour els validées --' Pour ta question: c'est extremement rare, et seuls les vampires vieux et puissants en ont.^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| Mar 2 Sep - 22:28 | |
| XDD Désolée !
Merci Noah =)
C'était lisible ? J'ai fait une présentation pourrie... |
| | | Jamie Harrington C'était le premier jour du reste de ma vie.
Nombre de messages : 115 Age : 32 AD Song. : Snow White Queen Date d'inscription : 22/07/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: RelationShips: Puissance.: (60/100)
| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| Mar 2 Sep - 23:32 | |
| Je me permets de dire
J'adore Ellen page et ton avatar (LLLL) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| Mer 3 Sep - 0:10 | |
| Merci =D
C'est gentil !
J'ladore depuis Juno =)(Et merci pour l'ava =)} |
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| Sujet: Re: &&_ Joey |Bloody Angel| | |
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| | | | &&_ Joey |Bloody Angel| | |
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