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| Solenn B. Gaarder | |
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Solenn B. Gaarder Believe me, when I say " I love u ", it's a lie
Nombre de messages : 42 Age : 33 Mood : Moody Date d'inscription : 07/09/2008
Behind Your Soul. Age de Votre Perso.: 22 ans RelationShips: Puissance.: (65/100)
| Sujet: Solenn B. Gaarder Dim 7 Sep - 18:11 | |
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{ Prelude Nom & Prénom: Gaarder B. Solenn Surnom: N'a jamais été encline à avoir des surnoms et si les autres le lui en ont donné, elle n'est pas au courant. Age: 17 ans Lieu et Date de Naissance: Reykjanes , Islande / 30 juin 2031 Maison: /
{ Romance { Once Upon a Time:Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours adoré mon île, il n’y a jamais eu un moment où j’ai regretté d’habité à un endroit reculé et recouvert de glace la majeure partie de l’année. Je m’appelle Solenn Belle Gaarder et je suis née au mois de juin de l’année deux mille trente et un. Le trente pour être exacte. Lorsque je ferme les yeux, je vois de la brume, je vois l’eau d’un bleu turquoise laiteux, lorsque je ferme les yeux, je sens la morsure du vent d’est glacé, lorsque j’écoute, j’entends les grondements des volcans. Lorsque je parle, cette langue vient à moins instinctivement. Je suis ce que je suis, je suis telle que cette île m’a forgée. Je suis culture, je suis politique, je suis argent, je suis histoire. Je suis moi.
***
Mais qui était donc cette jeune femme ? Jeune femme ? Non, comme tout le monde, elle était née petite. Elle était née le trente juin deux mille trente et un, dans la nuit la plus profonde, dans le silence le plus complet.
Albà Gaader n’était pas femme à se plaindre. Elle avait été élevée durement, fille d’un homme politique extrêmement influent, fille du Premier ministre puis du président, elle savait tenir son image de femme du peuple, elle avait le sang islandais dans les veines, elle avait du maintien et puis surtout… sa famille était d’un sang tellement pur qu’il en était presque bleu et il n’y avait pourtant jamais eu de cracmol de leur nom. Elle avait fièrement épousé William Gaader un an auparavant et même s’il ne s’agissait pas d’un mariage d’amour, c’était un mariage de respect. Son mari faisant lui aussi partit de la sphère politique, il ne fut pas difficile pour la rigoureuse femme d’affaire de garder bonne figure et pourtant… à cet instant, elle avait bien du mal à se retenir de hurler le martyr. Les contractions avaient commencé en début de soirée, elle se trouvait à table en compagnie de son époux, discutant des dernières nouvelles de ‘Blue Lagoon’ lorsqu’une douleur foudroyante lui avait fait grincer des dents. Elle avait ordonné à son mari, en un islandais rocailleux de prévenir un médicomage et était allée s’allonger sur un canapé pas très loin.
Cela avait pris plus de trois heures. Elle n’avait pas ouvert la bouche une seule fois, choisissant de rester digne malgré les conditions difficiles. Ce ne fut qu’une fois sa fille dans ses bras qu’elle laissa échappé un soupire de fatigue. L’enfant avait des cheveux d’un noir de jais, des yeux d’un marron sombre, il fut décidé de l’appelée Solenn..
***
Bien sûr, je ne me rappelle pas de tout ce qui s’est déroulé dans ma plus tendre enfance. Je sais que j’étais choyée. Je valais de l’or aux yeux de mes parents et peut-être pas selon les raisons que vous imaginez.. Toutefois, je me souviens étonnamment bien de la naissance de mon frère, alors que j’avais tout juste un an. Je me souviens lorsque mon père m’a présenté mon frère, mes yeux de un an n’ont rien compris. Mais je sais aussi que c’est ce jour là que j’ai dis mon premier mot. C’est ce jour là que j’ai offert son deuxième prénom à mon frère. Ulf, voilà comment je l’ai nommé en le pointant du doigt sous le regard étonné de mes parents. ‘Loup’ …ils auraient dû tout comprendre ce jour là.
Ma vie en elle-même a basculé alors que j’avais que trois ans et des poussières. Ma mère étant la directrice du célèbre centre thermal ‘Blue Lagoon’, il lui arrivait souvent de m’emmener avec elle afin de me distraire. Le plus souvent, je restais assise dans le petit coin qu’elle m’avait aménagé dans son bureau, mais ce jour là… chose étrange, elle eut droit à l’arrivée d’un corbeau. Je n’avais pas vraiment l’habitude de voir un corbeau, mais comme pour beaucoup de chose à cet âge là… j’y étais totalement indifférente. Je n’étais pas une enfant très ouverte, il m’arrivait de ne pas parler pendant plusieurs jours, et si cela à un temps sois peu inquiété mes parents, ils n’ont jamais rien fait pour changer cela. Pourtant, il ne s’agissait pas d’une question de vocabulaire, elle était beaucoup plus intelligente qu’elle n’aurait dût l’être mais elle n’avait tout simplement pas l’envie de communiqué. Mais ce jour, quelque chose semblait… l’attiré. Oui, c’est mot qui convient. Elle avait comme une impulsion, comme si quelqu’un l’appelais en murmurant. Mais un murmure qui résonnait tel un hurlement dans son esprit, elle essayait de ne pas entendre. Mais cette voix souffrait tellement. Lorsque l’on est un enfant aussi jeune, nous n’aimons pas entendre ou même voir les gens souffrir. Aussi, lorsque sa mère sortit en courant de son bureau après avoir lu la lettre lui indiquant qu’il y avait de sérieux problèmes avec la température de l’eau , elle ne jeta pas un seul regard envers sa fille et celle-ci suivit la voix.
Les bassins étaient immenses, l’eau était tout ce qu’il existait de naturel et pourtant, elle était d’un bleu turquoise et semblait être de brume. D’ailleurs, les brumes qui entouraient le volcan donnait une atmosphère presque irréelle et onirique à l’endroit. On sentait les têtes devenir lourdes et l’eau nous détendais à l’extrême. Certains anciens disaient même qu’il était très aisé d’entrer en transe à cet endroit. Moldus comme Sorciers le reconnaissait. Les pieds de l’enfant avançaient sans hésitation sur les pontons mouillés de la station thermale, elle avait les yeux écarquillés et vides, la main droite légèrement tendue en avant, elle tremblait légèrement et peut être étais-ce dû aux rafales de vents glaciales en tout cas, sa peau nue était couverte de frissons. Elle ne portait d’une fin tee-shirt de toile et une jupe courte qui ne lui arrivait pas plus bas que ses genoux vides de toutes cicatrices ou même traces de chutes. Et puis soudain, elle s’arrêta, tout d’un coup, au milieu du ponton. Elle avança vers le bassin tel un automate, les yeux vides. Et se pencha. L’eau du bassin était tumultueuse. Elle bouillait à gros bouillons et une vapeur étrangère à celle que l’on percevait d’ordinaire à cet endroit s’élevait. Dans le bassin, une image se formait. Une image étrange, une image que même un sorcier pouvait qualifier d’étrange. Il s’agissait d’un loup énorme, qui faisait presque la taille de deux hommes dont l’un serait monter sur les épaules de l’autre. Il avait la gueule ouverte, un filait de bave tombait sur le sol et ses grands yeux jaunes luisaient dans le crépuscule précoce. Il était effrayant. Mais pourtant, elle n’avait pas peur. Il l’appelait à l’aide. Son esprit d’enfant devait l’aider. Alors elle enjamba le ponton et attendit un moment. Elle fixa l’eau vrombissante et sourit avant de tendre les bras en avant et de se laisser tomber dans l’eau dans une éclaboussure bien trop énorme pour quelqu’un de son poids et de sa taille. On aurait dit un champignon d’eau et de vapeur qui s’élevait dans le cratère du volcan. Sa mère hurla de désespoir.
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| | | Solenn B. Gaarder Believe me, when I say " I love u ", it's a lie
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| Sujet: Re: Solenn B. Gaarder Dim 7 Sep - 18:16 | |
| Je ne sais plus exactement ce que j’ai fais lorsque je suis tombée, je sais juste que je l’ai aidé. J’ai aidé le loup et il m’a montré son royaume. Il m’a présenté son frère le serpent Jörmungand, sa sœur Hel m’a sourit et il m’a soufflé son nom au creux de mon oreille avant de souffler sur mon visage d’une haleine lourde. Fenrir. Et je sus plus tard qu’il s’agissait du loup des enfers. Mais jamais je n’ai eu peur de lui, comme jamais je n’ai eu peur de la mort. Car mourir, ce serait le revoir. Et qui a peur de revoir un ami ? Pas moi. On m’a dit par la suite que lorsque que l’on avait réussi à me sortir de l’eau, ma peau était entièrement brûlée, que l’on craignait que je ne sois définitivement défigurée. Or, un simple coup de baguette m’a soigné. Personne n’aurait cru cela possible, mais moi je sais qu’il n’aurait pas aimé que je vive en reclus par sa faute. Je l’avais aidé. Il me soignait. Tout cela vous semble peut-être impossible à croire. Je n’ai jamais raconté ce qui c’était passé avant aujourd’hui. Je savais bien que je ne pourrais pas passer ensuite pour sainte d’esprit. Mais je ne suis pas idiote. Je sais que l’on m’observe, que quelqu’un ne comprend toujours pas ce qu’il s’est passé ce jour là.
A huit ans, je me suis fait faire une amulette, que j’ai jamais quitté depuis. Elle semble simple, mais elle est complexe, chargée de choses que moi seule peut comprendre. Il s’agissait du navire d’Hel, barque funeste sur laquelle elle faisait voyager et les morts. Et par dessus, j’avais fait graver mon protecteur. Mon loup. La mort.
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Albà Gaader était souvent inquiète pour sa fille, depuis son accident, elle lui semblait encore plus étrange, elle avait parfois, ce regard vide et se sourire qui parvenait à faire frémir même une femme endurcie comme elle. Lorsque à plusieurs reprises elle avait osé à sa fille ce qu’elle faisait. Celle – ci lui avait simplement dit qu’elle aimait beaucoup l’eau. Cela n’avait aucun sens. Comment aimer l’eau après être tomber dans un chaudron à grandeur nature ? Elle secouait alors la tête et reprenait ses tâches quotidiennes. Il lui restait après tout un fils qui remplissait exactement les fonctions que l’on attendait de lui.
Et puis un jour, elle n’en pus plus, elle attrapa le journal intime de sa fille et l’ouvrit à la première page. Pour le lâcher aussitôt, un frisson d’horreur l’avait parcourut alors qu’elle déchiffrait les mots :
‘ Je n’ai pas peur de la mort, car Helheim m’attend ( Enfer, Damnation), j’ai vu sous la racine d’Yggdrasil ( l’arbre monde de la connaissance) le royaume de Nilheim ( la glace), j’ai vu Jötunheim ( la destruction) et ne redoute plus Svatarlfheim ( l’obscurité).’
Ce fut la goutte de trop, le vase se brisait. Les pages furent arrachées. Le père prévenu, la confrontation fut violente. Solenn en sortit brisée.
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« Mama ! Mama ! Je veux aller à Hvannadalshnjûkur ! » ( Le volcan de la vallée des Angéliques). Le deuxième tournant de sa vie venait de s’annoncer. Il ne s’agissait que d’un caprice de son frère pourtant la petite famille avait préparé un mince bagage et s’en été allée. Tout paraissait normal, le ciel était nuageux et le vent soufflait une brise glaciale qui faisait vibrer les Angéliques. Ils avaient trouvé une petite place à l’auberge et avait commandé au plus grand dépit de Solenn un plat viking traditionnel excessivement cher et selon elle extrêmement écœurant. Mais il n’y avait rien de plus qu’elle ne respectait que les traditions. Le Þorramatur comme on l’appelait était cuisiné à base de pieds d'agneau fumés, de gras de baleine mariné ou de requin faisandé. De Kæstur hákarl, requin du Groenland avec du Súrsaðir hrútspungar, des testicules de mouton cuits dans leur jus et macérés dans le lait aigre ajouté à du Svið, des têtes de mouton calcinées agrémenté de Sviðasulta, fromage de tête, fait à partir du svið le Lifrarpylsa (saucisse de foie; aussi connu sous le nom de slátur, qui signifie abattage), une saucisse faite à partir des abats d'un mouton relevait le Blóðmör (graisse de sang; aussi connu sous le nom de slátur), une sorte de "pudding" de sang, qui est préparé comme le lifrarpylsa, sauf que du sang est ajouté au mélange. La partie la plus écoeurant venait encore selon Solenn, il y avait aussi du Harðfiskur, poisson séché (souvent de la morue, du haddock ou du poisson-loup), avec du beurre du Rúgbrauð (pain de seigle), pain de seigle traditionnel islandais pour faire passé le tout, mais aussi du Hangikjot, souvent de l'agneau fumé de la Lundabaggi, graisse de mouton et cela était décoré sur du Selshreifar, nageoires de phoque. Selon son opinion. Il aurait dû être interdit de faire un tel plat. Et pourtant, elle avait tout mangé. Elle avait gardé pour elles les gémissements des enfants que l’on force à manger, elle avait gardé la tête haute et avait semblé fière de mangé le plat de ses ancêtres. Même si son anglait de père n’avait pas pu en faire autant. Et c’est là que tout était arrivé. Il y avait eu cette vieille femme, qui l’avait bousculée. Elle s’était gentiment excusée et Solenn en bonne enfant ne lui en avait pas tenu rigueur. Et alors que celle ci recommençait à manger. Solenn tressaillit brusquement, se tenue droite comme un i sous le regard interloqué de ses parents avant de dire d’une voix sourde : « Elle va mourir. »
Personne n’avait compris, elle recommença à manger, mais sous le regard inquiet de ses parents, elle ajouta en soupirant : « La vieille dame là bas, elle va s’étouffer avec une arête. »
Ses parents secouèrent la tête, désolés, mais c’est alors que la vieille dame se mis à suffoquer. Ils prirent leurs enfants par les aisselles et transplanèrent sans plus attendre. Elle venait de se découvrir un don. Elle avait neuf ans.
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On m’a toujours dit que j’allais aller à Dumstrang. Je m’en étais réjouis. Le climat n’était pas très différent et il y aurait surement des élèves de la même nationalité que moi. J’attendais la rentrée avec impatience. Mais c’est alors que mon père à tout gâché à provoquer le troisième grand chamboulement de ma vie. Je savais très bien que mon père était autant un homme politique important qu’il était un homme d’ambition. A son jeune âge, il était faisait déjà partit du parlement islandais. Et il était très en vue. Ma famille passait tout ses week end chez d’autres hommes politiques tout aussi influents. J’aurai dût me douter de quelque chose… mais quelque part, mon père avait toujours été mon héros. Même après la sérieuse dérouillée qu’il m’avait infligé à huit ans afin de me ‘remettre les idées en place et sur le droit chemin’ . Aussi, lorsqu’en pleine nuit, en pleine tempête je fus réveillée par ma mère , en chemise de nuit qui me hurlait de prendre des affaires et de m’habillé chaudement. J’en resta interloqué. Cette nuit n’est plus que vacarme dans mon esprit. Je me rappelle que l’on m’a porté. Puis d’avoir transplaner et ensuite d’avoir prit un portoloin avant d’arriver dans une pièce beaucoup plus chaude que celles auxquelles je m’étais habituée.
On m’expliqua plus tard que mon père, dans sa folie des grandeurs, avait tourmenté un coup d’état. Qui bien sûr, avait échoué. Il avait décidé de s’enfuir et de se rendre dans le pays où il avait vécu autrefois. Nous ne pourrions plus rentrer chez nous. Nous avions pu tout emporter, tout notre argent était à nos côtés, nos souvenirs… mais pas le pays que j’aimais tant.
Et aujourd’hui encore je souffre du mal du pays. Et aujourd’hui encore je pleure de revoir les vapeurs du centre et son eau si particulière que je chérissais tant.
*** Finalement, j’allais à Poudlard, où je subis l’examen du choixpeau comme une torture. Il me jugea rusée et pleine d’autoconservation. Je ne nie pas cela. C’est ce que je suis. J’aime les hommes mais je ne les garde pas. J’ai de l’argent et je m’en sers. Toutefois. Il y a encore quelqu’un que je cherche. Quelqu’un pour me comprendre. Et me dire les yeux dans les yeux qu’il sait exactement ce que je veux sans prétentions aucunes.
Lorsqu’en deuxième année mon frère entra enfin dans l’école, je pus enfin respirer. Je ne le défendrais jamais assez. Je serais un loup, il serait de ma meute. Et je défends toujours ma meute. Mais je le fais en secret. Car je sais bien qu’il me considère comme inférieure et comme étant le déchet de la famille pourtant, je l’aime c’est ainsi.
Et aujourd’hui encore, lorsque je me regarde dans mon miroir, que je vois mon tatouage d’ouroboros dans le creux de mon dos, mes cheveux noirs d’ébènes, mes sourcils bien dessinés, mon menton fier, mes pommettes hautes, la fine courbure de mes reins, mes yeux d’un brun clair que je noircis d’un trait même la nuit, la pâleur de ma peau peu encline au soleil , je me dis que je ne regrette rien de ce que je suis devenue.
Je suis Solenn Belle Gaarder et je suis ce que je suis. { Who are You, My Sweety Dear? Surnom: Pommyth Boy or Girl?: Girl Où avez vous connu le forum? Sur un top site Niveau de rp: A vous de me le dire Qualité du design: 17/20 j'adore les tons de couleurs Qualité du Contexte: 17/20 Avatar: Nathalie Portman Autres: Rien a signaler Code: Okey* | |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
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| Sujet: Re: Solenn B. Gaarder Dim 7 Sep - 18:40 | |
| Bienvenue Mlle et merci de ton inscription!Je déplace ton sujet dans le topic de fiche en attente!Bonne chance pour le reste de ta fiche (a) | |
| | | Solenn B. Gaarder Believe me, when I say " I love u ", it's a lie
Nombre de messages : 42 Age : 33 Mood : Moody Date d'inscription : 07/09/2008
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| Sujet: Re: Solenn B. Gaarder Dim 7 Sep - 18:43 | |
| Hum... est ce que j'ai oublié quelque chose? ( se sens très bête d'un coup... mais sa m'arrive souvent) | |
| | | Noah J. Harrington ▪ He's Back ▪ Admin
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| Sujet: Re: Solenn B. Gaarder Dim 7 Sep - 18:46 | |
| Ah non desolé, je pensais que tu n'avais pas fini! Je te VALIDE et t'envoie chez les Serdaigles! Pour ton vava passe une commande si tu n'en trouves pas. | |
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| Sujet: Re: Solenn B. Gaarder | |
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| | | | Solenn B. Gaarder | |
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