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 Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.

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MessageSujet: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 20:38


{ Prelude

Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. 1-3 Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. 14-3


Nom & Prénom: Constantine Victor Graham
Surnom: Vik'
Age: 17 ans et 8 mois
Lieu et Date de Naissance: Londres, 3 Janvier.
Maison: scratch


Dernière édition par Victor G. Constantine le Sam 26 Juil - 20:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 20:43


{ Romance



{ Once Upon a Time:

I. Epsilon, le petit ange et le clair de lune.

    Le petit ange jouait au clair de lune, ses cheveux blonds brillant sous l’effet des rayons de la Reine céleste. Il semblait bien frêle, assis là, sous la grande fenêtre de son immense chambre. Il n’avait que six ans, l’âge de l’innocence, des rêveries et des voyages imaginaires. Pourtant, dans son regard délavé étincelait une cruauté peu commune aux bambins de sa trempe. Ses traits enfantins étaient déformés par une expression de jouissance intense, il ressemblait à une réplique parfaite des fils des démons de l’antiquité. Beau, séraphique mais effrayant. Ses petites mains habiles étaient pourpre, contraste épatant avec le reste de sa peau de neige, et elles allaient et venaient dans un tas de poils baignant dans du sang. Du sang, voilà ce qui recouvrait les paumes et les doigts fins du jeune assassin. La victime avait trépassé quelques secondes plus tôt dans un cri dolant et effroyable. C’est à ce moment qu’un sourire carnassier avait déchiré les lèvres charnues du petit ange.

    Mutilé à la poitrine, les membres lacérés, Epsilon n’avait pas fait long feu dans la demeure des Constantine. Trois ans à peine. Il lui arrivait souvent de passer la nuit avec le fils de sa maîtresse, Victor. Il s’asseyait dans le fond de son grand lit, s’y lovait et finissait par s’endormir, bercé par la respiration calme de l’enfant. Mais, en ce soir de pleine lune, il n’avait pu fermer l’œil car le petit était bien plus agité qu’à l’ordinaire. Comme obsédé par le ciel, il l’avait observé pendant près d’un quart d’heure sans bouger et, finalement, était devenu le plus jeune criminel de tout Londres. Il avait pris le chat tigré dans ses bras alors que ce dernier s’endormait, une douceur extrême dans ses gestes mais une lueur étrange dans le regard, s’était assis sur le sol, une paire de ciseaux à ses côtés, et avait bercé l’animal de sa mère en chantant de sa voix fluette.

    Victor – « C’est chez Morphée que tu reposes,
    Mon petit bout, ma petite rose,
    C’est dans ses bras que tu t’endors
    Et que tes rêves deviennent trésors.
    Mais quand la lune avance
    Morphée s’en va mourir,
    Et toi tu as perdu ta chance,
    Il ne te reste qu’à partir.
    C’est chez Hadès que tu reposes,
    Mon petit mort, ma petite rose,
    C’est dans mes bras que tu t’égares
    Et que tes rêves deviennent cauchemars. »


    Au fil de la berceuse, le ton s’était fait plus dur, plus sec. Les caresses étaient devenues coups, les papouilles pincements et les douceurs atrocités. Coups de poings, coups d’ongles, coups de ciseaux. Le pauvre Epsilon se défendit comme il put mais ne trouva aucune échappatoire. Lorsque la lame lui perça l’estomac, il sentit sa dernière heure arrivée et se laissa mourir sans résister. Lorsque son âme quitta sa dépouille, son bourreau regarda sa boucherie d’un œil critique, comme un peintre regarderait son tableau enfin achevé. Trop de couleur ici, trop d’épaisseur là-bas, il serait plus fin la prochaine fois. Mais, pour une première, ce n’était pas mal du tout ! Satisfait de son travail, le bambin balança le corps de l’animal par la fenêtre et se mit au lit, laissant les traces de sangs sur le sol, les meubles, les murs et ses mains. Ses draps clairs prirent une teinte rougeâtre par endroits tandis qu’il se frottait paisiblement dans ses couettes. Il tomba dans un sommeil de plomb, un sommeil mérité après un dur labeur, le sommeil des honnêtes travailleurs.

    ***


    Mrs Constantine était une femme magnifique, un fantasme ambulant, une déesse vivante. Grande, élancée, blonde et généreuse de poitrine, si sa silhouette était un régal pour les yeux, son regard bleu n’en était que plus envoûtant. On la définissait simplement comme une croqueuse d’hommes, une redoutable chasseresse à qui aucun gibier ne résistait. Elle s’était mariée très jeune à un riche et austère bonhomme, Mr Constantine, Abadon de prénom. Ce dernier n’était ni spécialement beau, ni particulièrement amusant ou gentil, c’était juste quelqu’un d’immensément riche et influent. A son bras, toutes les portes s’ouvraient, même les plus inaccessibles. Elle l’avait charmé et convaincu de se lier à elle en moins d’un an. Le bougre, bien que conscient que sa fortune était le seul attrait de sa personnalité, avait accepté sans broncher. Une telle occasion ne se représenterait plus et la demoiselle s’ajouterait à sa collection d’œuvres d’art. Ainsi, chacun avait trouvé son profit dans l’histoire. La Belle pénétrait dans le monde doré et hypocrite de l’aristocratie magique tandis que la Bête s’affichait avec la plus délicieuse des créatures dans les plus fameuses réceptions. La Bête ? Ah oui, veuillez excusez-moi étourderie, j’avais oublié de préciser la lycanthropie du protagoniste. En effet, en plus de ses autres défauts, Abadon appartenait à la sordide race des loups garous. Mordu à l’adolescence, il avait su préserver son secret grâce à des relations bien placées et des potions fort coûteuses.

    Dix mois après le mariage, Sephora, la nouvelle Mrs Constantine, respecta le contrat et donna un descendant à la prestigieuse famille. On le nomma Victor en hommage à un célèbre ancêtre. Mais, cette petite vie bien rangée n’était pas au goût de l’intéressée et l’autorité qu’exerçait son stupide époux sur elle commençait sérieusement à l’exaspérer… Aussi trafiqua-t-elle les potions tue-loup de son mari qui eut de plus en plus de mal à lutter contre la transformation lycanthrope. Et, lors d’une nuit de pleine lune arriva ce qui devait arriver ; Mr Constantine ne put dominer la bête et passa du statut d’homme froid à celui d’assassin. Pour l’occasion, Sephora, qui avait tout prévu, organisa une réception au manoir et versa un puissant somnifère dans la coupe d’une jeune invitée, la fille d’un juge imminent. Alors que la fête battait son plein, elle l’emmena discrètement dans une chambre à l’étage où Abadon tentait de se reposer à causes de malaises soudains. Derrière elle, elle referma à double tour la porte et repartit choyer ses invités qui ne remarquèrent rien. Ce n’est qu’une heure plus tard, alors que le soleil laissait place à la lune, qu’un cri aigu retentit dans toute la maison. Il venait de l’étage. On se précipita vers les origines du mal mais on ne put ouvrir la grosse porte scellée par un sortilège et une serrure indestructible. Un mélange de rugissements, de plaintes, de grognements et de gémissements animèrent l’endroit pendant plusieurs minutes. Puis, plus rien. Une vitre brisée, un corps inerte, nu et ensanglanté, un lycan incontrôlable en fuite et un père veuf de fille. On retrouva Mr Constantine le lendemain, dans une forêt environnante. Il fut jugé coupable et enfermé à vie à Azkaban. Quant à Sephora, elle pleura beaucoup la mort de la demoiselle ainsi que l’incarcération de son mari, c’était une bonne comédienne. Pour ne pas déshonorer encore plus la famille Constantine, elle décida de ne pas rompre le contrat de mariage et donc, de continuer à profiter de la fortune familiale. Etant une femme charmante et à l’écoute, elle consola le juge en le transformant en amant. Elle en fit de même avec le frère de ce même juge et avec le meilleur ami de son meurtrier de mari. C’était une femme au grand cœur cette Sephora ! Quant à l’héritier, il ne connut pas son père, il n’avait que deux ans lorsque le drame se produisit.

    Quatre ans plus tard, c’est une Mrs Constantine rayonnante qui alla réveiller son fils adoré. Elle avait passé la nuit hors de la résidence, chez un amant, et n’était revenue que très tôt dans la matinée, alors que la maison complète dormait et que le soleil pointait ses rayons à l’horizon. Quelle ne fut pas sa surprise de constater les traces de sang séché sur les murs, les meubles et le sol de la chambre du petit. Dans la plus grosse marre pourpre gisaient des poils de chat et quelques bouts de chair. Elle se précipita vers le petit corps endormi de Graham, de son deuxième nom, et hurla lorsqu’elle le retourna et le découvrit plein de sang à son tour. Il avait essuyé ses mains sur son visage et ses draps et son pyjama était couvert d’éclaboussures rouges. Il émergea des bras de Morphée affolé par les cris de sa mère et fut consternée face au sinistre tableau qui s’offrait à lui. Un silence pesant s’installa et, d’une voix tremblante, Sephora le rompit.

    Sephora – « Que s’est-il passé ici ? »

    Il regarda circulairement la pièce, ses yeux bleu clair s’arrêtant sur les résidus de sang présents. Dans sa tête, la soirée de la veille était confuse, inexplicable, comme effacée. Etrangement, il n’était ni paniqué, ni honteux, juste persuadé qu’il était l’auteur du carnage. Mais pourquoi, comment, qui, quoi ? Il n’en avait pas la moindre idée. Il n’y avait que cette inébranlable certitude de culpabilité, cette absence de remords et de souvenirs. Tout en levant ses yeux innocents vers sa mère, il lui répondit :

    Victor – « Je n’en sais rien maman… »
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 20:44

II. Un passé dans les cendres, un avenir dans le sang… et un sombre présent.

    « Dix-sept ans, c’est notre âge. Nous avons grandi ensemble et nous mourrons ensemble, c’est ainsi et je n’y peux rien. Au début, j’étais le plus grand, le plus fort, le dominant. Mais avec le temps, il m’a rattrapé et nous nous sommes partagés le contrôle. Aujourd’hui, j’avoue qu’il a pris l’ascendant sur moi et qu’il m’arrive de ne plus réussir à m’opposer à son ascension. C’est une course au pouvoir, une éternelle lutte. Et je me fatigue, je me lasse de lui résister… tout serait si facile si nous vivions en osmose, si nous avancions à l’unisson et non l’un contre l’autre. Il y a lui et moi, moi et lui. La Bête et l’Humain. Enfermés dans un même corps, liés par le sang, par l’esprit et par la chair, nous avons fini par nous confondre… Moi-même je ne sais plus qui est le Monstre des deux. Il est mon côté bestial, brutal, impulsif et violent et je suis son équilibre. Rusé, réfléchi, calculateur, manipulateur et calme, je suis la face blanche. A moins que ça ne soit l’inverse ? Je ne sais pas, je ne sais plus.

    Les spécialistes ont dit que c’était dû au sang de lycan qui coulait dans mes veines – merci papa ! –, mais le diagnostic indiquait des mutations mentales lunaires, autrement dit, la Bête ne devait se réveiller que pendant les soirs de pleine lune. Au début, c’est ce qu’elle a fait… mais elle s’est manifestée de plus en plus souvent avec le temps et est devenue une partie intégrante de ma personnalité. Ainsi j’en suis arrivé à parler de moi à la première personne du pluriel. De la honte ? Non, je n’en ressens pas, au contraire. Ce n’est pas comme s’il était tout noir et moi tout blanc, c’est ensemble que nous formons le Monstre que je représente, séparé nous ne sommes rien. Forts, ambitieux, déterminés, lorsque nous nous allions, nous devenons invincibles. J’échafaude les plans, je prévois, je calcule et il me donne le courage de concrétiser mes projets, la rage de vaincre et la combattivité. Nous sommes un.

    Ecrire ne nous ressemble pas ? C’est vrai, nous ne perdons pas notre temps aux futilités, mais c’est une habitude que j’ai prise tout jeune, poussé par mes psychologues. Selon eux, c’était un bon moyen d’évacuer, de me confier… Car niveau confiance, on repassera ! Il est trop méfiant pour se lier et moi trop rancunier pour pardonner, nous n’avons donc que très peu de véritables amis même si nous sommes toujours très entourés. Ces gens ne sont que des pantins, des manipulés dont nous tirons profit et que nous faisons passer pour nos « amis »… Par contre, une fois apprivoisés, nous nous montrons loyaux, presque doux… Encore une facette supplémentaire de notre personnalité commune. Ce qu’il m’arrive quand il prend le dessus ? Et bien, je commets des actes bestiaux sans m’en souvenir… Chaque soir de pleine lune est pareil, je perds le contrôle et je me réveille dans un lieu quelconque, couvert du sang de quelqu’un d’autre. Mais la vie est une jungle et seuls les prédateurs peuvent y vivre… les autres survivent. J’ai choisi mon camp. »
    Extraits du journal de Victor.


    Le jeune homme referma son journal délicatement, le scella à l’aide d’un sortilège et se dirigea vers la cheminée de marbre du grand salon de l’aile Ouest. Une fois de plus, il était seul en ce dernier soir d’août et le serait encore le lendemain matin quand il prendrait le Poudlard Express. Sa mère s’envoyait sans doute en l’air avec un homme riche et influent, une fois de plus. Il avait l’habitude de ses absences répétées et n’y faisait plus attention… il s’était détachée d’elle depuis bien longtemps. Mais ce qui le préoccupait présentement n’était ni l’esprit volage de sa mère, ni le statut de ses amants, la question était bien plus existentielle. Cette année, il entamerait la fin de ses études, passerait à l’âge adulte, aurait des responsabilités et devrait prouver au monde entier qu’il était différent de son meurtrier de père et de sa profiteuse de génitrice. Ce n’est pas qu’il avait une opinion particulière sur ses parents, il se fichait bien de ces monstres, mais l’avis des autres était important et il voulait briller, se démarquer. Jamais on ne le rattacherait à un échec ni à qui que ce soit, et cette nouvelle vie devait commencer avec la destruction de ses faiblesses. Ainsi, alors que les flammes se reflétaient dans ses yeux bleus, il jeta la preuve de sa fragilité dans le feu et la regarda se consumer, le vague à l’âme. Des années de sa vie s’envolaient en fumée avec ce journal, des tonnes de larmes, des cascades de failles…

    Le bellâtre inspira une bonne fois, déglutit et se retourna vers la sortie. Il venait d’arracher une page de son existence, de tirer un trait sur le passé. Sans le savoir, il venait de signer un pacte avec le diable, de concrétiser ce qu’on pensait tout bas de lui… il ne valait pas mieux que ces horribles parents, était aussi égocentrique qu’eux et plus vile encore. Et tandis que sur ses traits fins se dessinait un rictus mauvais, la Bête rugit de plaisir en son fort intérieur… enfin, on la libérait de sa cage.


Dernière édition par Victor G. Constantine le Sam 26 Juil - 20:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 20:49

{ Who are You, My Sweety Dear?


Surnom: Emy
Boy or Girl? : Girl! Cool
Où avez vous connu le forum? Par hasard! What a Face
Niveau de rp: Assez bon je dirais! ^^
Qualité du design: Pas mal!
Qualité du Contexte: J'adore! I love you
Avatar: Mathias Lauridsen
Autres: J'ai repris la fiche d'un perso que j'avais fait sur un autre forum mais que je n'ai pas eu l'occasion de jouer! ^^
Code: :yaaa:
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 21:02

Bienvenue ( j'ai pas l'impression de me repeter (a') )
Très belle fiche, j'ai adoré la lire :wub:
Fiche validée et bienvenue chez les SERPENTARD.
Amuse toi bien ;]
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_minipostedSam 26 Juil - 21:04

Merci!!! Razz (Moi, me répéter? nannn! :mg: )
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MessageSujet: Re: Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE.   Victor, Métis de Dieu et du Diable. ° {FINIE. Icon_miniposted

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